On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille, ni d’ailleurs la place que l’on occupe dans sa fratrie. Mais quand on a la chance de naître la première, il y a vraisemblablement tout un tas d’avantages.
- L’aîné(e) est le "préféré" des grands-parents
Bon, c’est dur mais c’est un fait : l’aîné(e) d’une fratrie est bien souvent le "chouchou" surtout auprès des grands-parents. Pourquoi ? Probablement car c’est celui (ou celle) qu’ils voient le plus et qu’ils reçoivent le plus chez eux pendant les vacances. Puis c’est aussi les premiers à dire "papy et mamie" alors ça compte.
- En étant l’aîné(e), on apprend à négocier
Tous les ainé(e)s (ou presque) héritent du gène de la négoce, en tous cas plus que leurs petits frères et sœurs. Évidemment : toute leur enfance, ils ont du parlementer avec leurs parents pour avoir le droit de sortir avec des amis, regarder la télévision après 21h ou encore recevoir une "Gameboy" à Noël. Et c’est d’ailleurs souvent lui qui sert également de mètre-étalon pour établir la somme pour l’argent de poche.
- L’aîné(e) sait s’occuper des enfants
Certes, il faut pour cela que les enfants aient plusieurs années d’écart. Mais c’est une nouvelle évidence : les ainé(e)s qui ont dû s’occuper de leurs petits frères et sœurs, savent du coup s’occuper des enfants. Oui, bon, ils savent également les faire pleurer : comme quand par exemple ils prennent un malin plaisir à annoncer à leurs frères et sœurs que le père Noël est une pure invention…
- L’ainé(e) est un exemple !
Autre avantage et non des moindres, l’ainé(e) est avant tout un exemple pour le reste de sa fratrie. Et ce dans tous les domaines : dans ses études (on compare toujours les résultats scolaire aux siens) mais également vestimentaire parlant (en même temps, on lui achète toujours des nouveaux habits, ce qui n’est pas toujours vrais pour les autres).
- L’ainé(e) est plus intelligent
Dernier avantage et non des moindres : les ainés sont souvent plus intelligents que les autres enfants d’un fratrie. Et c’est la science qui le dit ! "Le QI du premier enfant est le plus élevé de sa fratrie" comme l’a révélé une étude de chercheurs de l’université de Leibzig publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS).