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    Amérique du Nord britannique

    L’Amérique du Nord britannique fait référence aux colonies et territoires britanniques en Amérique du Nord après l’indépendance des États-Unis en 1783 (voir aussi La Révolution américaine et l’invasion du Canada) et jusqu’à la Confédération en 1867. L’Acte de l’Amérique du Nord britannique (AANB), qui est entré en vigueur le 1er juillet 1867, a unifié trois des cinq colonies nord-américaines britanniques. L’Acte (renommé Loi constitutionnelle de 1867, en 1982) est le document fondamental à la base de la Constitution du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/38e5f8ee-b0d4-46c9-99d7-11bdda3004ce.jpg Amérique du Nord britannique
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    Argent de traite

    Des cadeaux en argent étaient présentés et échangés avec les peuples autochtones du Canada par des marchands de fourrures européens. Les articles d’orfèvrerie de traite étaient fabriqués par des orfèvres de la ville de Québec, de Montréal, de London et de différentes villes américaines, dont New York, Philadelphie et Détroit. (Voir aussi Traite des fourrures au Canada et Articles de troc avec les Autochtones.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/TradeSilverHBC.jpg Argent de traite
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    Articles de troc avec les Autochtones

    Pendant le commerce des fourrures au Canada, des articles de fabrication européenne (historiquement appelés « marchandises indiennes » dans la littérature) étaient échangés avec les peuples autochtones contre des fourrures. Ces articles comprenaient, par exemple, des objets en métal, des armes et des perles de verre. Cependant, les échanges culturels se faisaient dans les deux sens, de diverses manières. Certains Européens, notamment les voyageurs, ont adopté diverses technologies et vêtements autochtones dans le cadre de leurs activités de commerce des fourrures, notamment les mocassins, pantalons et chapeaux en peau de daim et les raquettes.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e4ec1e55-01c2-4b77-a220-f05a84fd4c9c.jpg Articles de troc avec les Autochtones
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    Esclavage des Noirs au Canada

    Dans le Canada du début de la colonisation, l’esclavage des Africains était un moyen légal qui contribuait à faire fonctionner l’économie coloniale. Pratiqué par des colons et commerçants européens en Nouvelle‑France au début des années 1600, l’esclavage a perduré jusqu’à son abolition dans toute l’Amérique du Nord britannique en 1834. Pendant ces deux siècles, les colons de ce qui allait devenir le Canada ont été impliqués dans la traite esclavagiste transatlantique. Le Canada est également lié à l'institution de l'esclavage par son histoire de commerce international. Des produits tels que la morue salée et le bois d’œuvre ont été échangés contre des biens produits dans le cadre d’une économie esclavagiste aux Caraïbes comme du rhum, de la mélasse, du tabac et du sucre. Ceci est un article complet sur l’esclavage des Noirs au Canada. Pour un résumé en langage simple, veuillez consulter Esclavage des Noirs au Canada (résumé en langage simple). (Voir aussi Olivier le Jeune ; Sir David Kirke ; Chloe Cooley et la Loi visant à restreindre l’esclavage dans le Haut‑Canada ; Chemin de fer clandestin ; Loi des esclaves fugitifs de 1850 ; Loi de l’abolition de l’esclavage de 1833 ; Esclavage des Autochtones au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/10e1983c-bdbe-4650-9121-50dd7f143f28.jpg Esclavage des Noirs au Canada
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    Canada

    Le nom « Canada » est dérivé mot iroquoien kanata, qui signifie village ou établissement. Le 13 août 1535, alors que Jacques Cartier s’approchait de l’île d’Anticosti, deux jeunes Autochtones qu’il ramenait de France l’ont informé que le chemin vers le Canada se trouvait au sud de l’île. Ce qu’ils entendaient par Canada était en fait le village de Stadaconé, le futur site de la ville de Québec. Jacques Cartier a utilisé le mot dans ce sens, mais en faisant également référence à la « province du Canada » pour désigner le territoire dominé par le chef de Stadacona, Donnacona. Le nom s’est rapidement étendu à une région beaucoup plus vaste. La carte du monde de la collection Harley (vers 1547), la première à indiquer les découvertes faites par Jacques Cartier lors de son deuxième voyage, applique le nom à la région située au nord du golfe et du fleuve Saint-Laurent. Vers 1550, les cartes démontraient également ce nom au sud du fleuve. (Voir aussi Cartographie au Canada : années 1500.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/CartographyInCanada1500s/DesceliersMap1546.jpg Canada
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    Capitulation de Montréal, 1760

    La bataille des plaines d’Abraham et la capitulation de Québec en 1759 rendent la situation stratégique de la Nouvelle-France désespérée. Malgré une victoire lors de la bataille de Sainte-Foy, les forces françaises se voient isolées à Montréal par les forces britanniques. Le commandant français, François-Gaston de Lévis, souhaite continuer la lutte. Cependant, le gouverneur de la Nouvelle-France, Pierre-Rigaud de Vaudreuil, décide de rendre la ville. Il souhaite éviter plus de pertes humaines inutiles. Lors de la capitulation de Montréal aux forces britanniques le 8 septembre 1760, la Grande‑Bretagne réalise effectivement sa conquête de la Nouvelle‑France.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/Seven_Years_War_Map.jpg Capitulation de Montréal, 1760
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    La Capricieuse

    Premier navire de guerre français à se rendre au Canada après la Conquête, La Capricieuse reçoit un accueil tumultueux à Québec le 13 juillet 1855.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/51e2696b-a413-49ec-95f7-5c8ae1e99b18.jpg La Capricieuse
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    Colonialisme au Canada

    Le colonialisme est le processus par lequel un peuple étranger établit son contrôle sur un territoire et, le cas échéant, sur ses peuples autochtones. Le contrôle est établi par divers moyens, notamment par une législation politique ou économique visant les peuples autochtones ou leurs terres, par la colonisation et par l’assimilation des peuples autochtones à la culture du colonisateur. Si le colonialisme, sous diverses formes, est un trait marquant de l’histoire de nombreux pays, le colonialisme au Canada commence véritablement par la colonisation française à Québec en 1608. Quant à l’histoire de la seconde puissance coloniale à influencer le Canada, les Britanniques, elle commence en 1670 lorsque la Couronne délivre une charte royale à la Compagnie de la Baie d’Hudson.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Colonialisme au Canada
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    Colonie de la rivière Rouge

    La colonie de la rivière Rouge, partie intégrale de la riche histoire du Manitoba, est une colonie établie le long des rivières Rouge et Assiniboine dont les frontières touchent le Manitoba et le Dakota du Nord actuels.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0c582e2e-b609-41c2-b9dc-50071198f9c4.jpg Colonie de la rivière Rouge
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    Vie des Colons

    De nouvelles régions du Canada s'ouvrant une à une à la colonisation européenne, il incombe donc aux colons ou pionniers la pénible tâche de bâtir des maisons et de créer des communautés. Toute leur vie est réglée par la nécessité de pourvoir aux besoins immédiats de leur existence dans un environnement nordique et sauvage : nourriture, abri, vêtements et combustible. La vie de pionnier fait partie intégrante de la vie de famille et offre une stabilité sociale à l’établissement d’une plus grande population à travers le pays.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e4a05698-f812-4056-9de1-b60785850314.jpg Vie des Colons
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    Commerce triangulaire

    Le commerce triangulaire est une route commerciale qui reliait autrefois la France, la Nouvelle-France et les Antilles. Instauré par le contrôleur des finances françaises Jean-Baptiste Colbert et appliqué au Canada en 1667 par Jean Talon, l’intendant de la Nouvelle-France, le commerce triangulaire va permette à la colonie de diversifier son économie et de se positionner dans les grands réseaux de commerce internationaux.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e010947298-v8.jpg Commerce triangulaire
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    Conférence de Charlottetown (résumé en langage simple)

    La Conférence de Charlottetown a été le premier pas vers la Confédération. Elle a eu lieu du 1er au 9 septembre 1864 à Charlottetown. Des réunions de suivi se sont tenues la semaine suivante à Halifax, St John’s et Fredericton. Tout a été entièrement organisé par les dirigeants du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Île-du-Prince-Édouard. L’objectif était de discuter de l’union de leurs trois colonies. Un groupe de la Province du Canada les a persuadés d’unir toutes les colonies de l’Amérique du Nord britannique. La réunion a été suivie de la Conférence de Québec (du 10 au 27 octobre 1864) et de la Conférence de Londres (de décembre 1866 à mars 1867). Elles ont mené à la Confédération le 1er juillet 1867. Cet article est un résumé en langage simple sur la Conférence de Charlottetown. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Conférence de Charlottetown.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/414967a2-a084-4398-bc84-85d98d595ee9.jpg Conférence de Charlottetown (résumé en langage simple)
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    Conférence de Québec, 1864 (résumé en langage simple)

    Du 10 au 27 octobre 1864, les dirigeants des cinq colonies de l’Amérique du Nord britannique se sont réunis à Québec. Ils ont continué à parler de fusion en un seul pays. Ces pourparlers avaient commencé à la Conférence de Charlottetown le mois précédent. À Québec, les Pères de la Confédération ont décidé de la structure du nouveau Parlement. Ils ont également défini la répartition des pouvoirs entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux. Les décisions prises à Charlottetown et à Québec ont donné lieu à 72 résolutions. Elles étaient connues sous le nom de Résolutions de Québec. Elles ont constitué la base de la Confédération et de la Constitution du Canada. Cet article est un résumé en langage simple sur la Conférence de Québec. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Conférence de Québec.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1e88decf-02d6-4b89-b522-383f360ecac4.jpg Conférence de Québec, 1864 (résumé en langage simple)
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    Conquête

    La Conquête est l’expression utilisée pour désigner la prise du Canada par la Grande-Bretagne durant la guerre de Sept Ans. Le terme est aussi utilisé pour faire référence aux changements qui en ont résulté dans les conditions de vie des 60 000 à 70 000 habitants francophones et de nombreux peuples autochtones. Québec capitule devant les forces britanniques le 18 septembre 1759, quelques jours après la décisive bataille des plaines d’Abraham. La résistance française prend fin un an plus tard avec la capitulation de Montréal. En vertu du Traité de Paris, la Nouvelle-France devient une possession britannique en 1763. La Proclamation royale de 1763 prévoit des politiques d’assimilation qui ne réussissent pas à s’implanter et qui sont remplacées par les dispositions de l’Acte de Québec en 1774. Bien que l’Acte soit l’un des facteurs de la Révolution américaine (1775-1783), il offre aussi aux Canadiens des conditions de vie désirables qui mènent à une certaine stabilité pendant plusieurs générations.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/JamesWolfe/Benjamin_West_DeathofGeneralWolfe.jpg Conquête
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    Esclavage

    Quelques tribus autochtones, en particulier celles de la côte Nord-Ouest, ont pratiqué l'esclavage dans ce qui est aujourd'hui le Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/9195643b-74f1-402c-be7c-0eb453a6f232.jpg Esclavage