Ces mémoires d’Isabel Allende prennent leur source dans la mort tragique de sa fille Paula. Cette longue lettre lui est adressée, comme un signe de la vie. Et quelle vie ! Bouillonnante, féconde en drames intimes, en passions et en joies explosives au sein de la tribu qui tient chaud à l’auteure de l’inoubliable « Maison des esprits ».

Exilée du Chili, vivant au Venezuela puis en Californie, où elle a rencontré son mari, regroupant autour d’elle une famille recomposée, élargie et disparate, écrivant ses livres, voyageant… On rit, on pleure avec cette auteure hors pair, « née pour raconter et encore raconter », et ses histoires deviennent les nôtres. Grandiose.