La nouvelle avait surpris tout le Royaume-Uni. Le mercredi 17 janvier 2024, le palais de Kensington annonçait dans un communiqué l’admission "programmée" de Kate Middleton à la London Clinic. La princesse de Galles s'est faite opérer avec succès au niveau de l'abdomen. Désormais en convalescence, elle ne devrait pas sortir tout de suite de la clinique, et ne devrait pas reprendre les déplacements publics avant Pâques.
Elle peut néanmoins compter sur le soutien de ses proches.
Les obligations publiques du prince William suspendues
Au lendemain de l’annonce de l’opération de la princesse de Galles, son époux, le prince William, s’est rendu à son chevet. Selon l’AFP, le fils de Lady Diana a suspendu ses obligations publiques durant la période d’hospitalisation de sa femme, qui devrait rester entre 10 à 14 jours au sein de l’établissement médical avant de rentrer chez elle.
La dernière apparition publique de Kate Middleton remontait à Noël, avec sa participation à la traditionnelle messe de l’église Sainte Marie Madeleine de Sandringham.
Dans son communiqué, le palais de Kensington précisait qu’il était "peu probable" que la princesse de Galles reprenne ses fonctions publiques "avant Pâques". Aucune autre information concernant son état de santé n’a été communiquée depuis. Le jour de son opération, le média britannique Express expliquait que le prince William avait déjà "annulé certains engagements royaux" pour s’occuper de leurs trois enfants, George, Charlotte et Louis.
Des rumeurs sur l’état de santé de Kate Middleton
Cette opération surprise a fait l’objet de nombreuses rumeurs lancées par les tabloïds britanniques. "Cela nous fait froid dans le dos", écrivait - avec un certain sens de la mesure - le journaliste Richard Kay du Daily Mail. Pour les calmer, le palais de Kensington a précisé auprès du Guardian que la nature de ce dont souffrait Kate Middleton "n’était pas un cancer", contrairement aux nombreuses rumeurs des tabloïds et des réseaux sociaux.
De quoi inquiéter les sujets du roi Charles III, qui va également devoir se faire opérer la semaine prochaine. En effet, quelques heures après le communiqué de Kensington, le palais de Buckingham a annoncé que sa Majesté allait être hospitalisée afin de traiter une hypertrophie de la prostate. "Comme des milliers d'hommes chaque année, le roi a consulté pour une hypertrophie de la prostate, pouvait-on lire dans le communiqué. Ce dont est atteint sa Majesté est bénin et il se rendra à l'hôpital la semaine prochaine pour une procédure correctrice".
Sa convalescence devrait être en revanche plus courte que celle de la princesse de Galles.