Si le prince William et le prince Charles sont toujours disponibles pour aider la reine à assurer les engagements de la monarchie, ils se sont défilés face à la première visite officielle de Donald Trump au Royaume-Uni, laissant Elizabeth II littéralement seule !

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Les futurs rois auraient décidé de ne pas rencontrer le président des États-Unis, resté à Windsor tant les manifestations londoniennes se voulaient importantes. C'est ainsi que la Queen a rencontré en solo Donald Trump, au château de Windsor, avec sa femme Melania. À savoir que si la reine se rend à de nombreuses représentations seule, la rencontre avec un chef d'État se fait généralement avec plusieurs membres de la "royal firm". Le Sunday Times a expliqué : "Habituellement, elle est accompagnée de quelqu'un. L'absence du prince Charles et du prince William était un camouflet." La famille royale aurait cependant précisé que leur absence était due au fait qu'il s'agissait d'une invitation du gouvernement, et non de la famille royale : "Les arrangements ont été mutuellement convenus entre le Palais et les gouvernements britannique et américain. Il n'a jamais été suggéré que d'autres membres de la famille royale y participent."

Habituellement, lorsqu'un chef d'État se rend au Royaume-Uni, la famille royale est au rendez-vous et le rencontre même en aparté. Généralement, le protocole exige que le président et la première dame soient reçus par la reine, et d'autres membres de la famille peuvent se joindre à elle, à un autre moment. C'était le cas pour le président Obama. On se souvient tous des photos de cette soirée à Kensington Palace chez Kate et William, lorsque prince George a rencontré le couple présidentiel en peignoir. Visiblement, prince William ne souhaitait pas un nouveau cliché de ce genre avec le président Trump...

Le prince Harry aussi, s'était montré proche de Michelle et Barack Obama, jusqu'à ce qu'on espère leur venue à son mariage. Le frère de prince William s'est aussi montré discret durant la visite de Donald Trump, comme pour faire oublier que Meghan Markle s'est longtemps opposée au président. Avant d'intégrer la famille royale britannique, la duchesse de Sussex était présente sur les réseaux sociaux et s'affichait du côté d'Hillary Clinton, participant vivement à la campagne anti-Trump entreprise par les célébrités américaines.