**spoiler alert** Il est important de noter que la plupart des thèmes explorés dans cet ouvrage traitent de sujets sensibles. Mon avis aborde donc éga**spoiler alert** Il est important de noter que la plupart des thèmes explorés dans cet ouvrage traitent de sujets sensibles. Mon avis aborde donc également ces sujets. Beaucoup de gens pourraient trouver les sujets du livre et ceux détaillés dans ma critique accablants. Je vous suggère d'éviter les deux si tel est le cas. Veuillez noter qu'à partir de maintenant, j'écrirai sur des sujets contenant des réflexions sur le meurtre, les crimes violents, la maltraitance des enfants, la grossesse, la mort d'un animal, l'extrémisme religieux, etc.
Sans perdre l'image que je guette dans les petits coins cachés de ma mémoire, je me suis retrouvé entouré d'une noirceur profonde. Me voilà de nouveau voulant retrouver les écrivains de ma jeunesse et leurs histoires qui m'ont aidé à surmonter les années d'une existence bourdonnante. Avec ce, je me suis mis en marche ; les petits alentour de la librairie délicate en revanche m'ont accueilli avec patience et enthousiasme.
Il me semble parfois que les petits comptes ont le pouvoir de nous faire achever avec un pouvoir incise. Simplement dit, lorsque j'étudiais au secondaire nous avons lu le même roman que je m'apprête à critiquer. Pendant ce temps d'étude nous avons passé beaucoup de temps sur les détails ; quelles sont les raisons pour lesquelles le docteur n'a pas intervenue ? Quel genre de traumatisme aura influencé le comportement de Roy ?
La beauté de l'étude de groupe est la profondeur acquise dans les moments de réflexions. Je ne vous en cache pas, je crois que bannir les livres demeurent une enquête plutôt stupide. Nous avons des cerveaux capables de définir l'invisible ; l'amour, la peur, la haine, la joie.
Nous avons la capacité de créer des instruments de forces et délicatesses à transformer le monde en entier, mais entre nos projets et désire de bien faire, quelques personnes ont pris la guise et ont décidé d'hâlter notre cheminement. Sans matière controverse ; sans matière qui nous force à réfléchir et définir l'inexplicable, qui somme-nous dans un monde qui achève doucement sans notre intervention ?
Senécal est un écrivain qui présente une histoire moqueur. Les personnages principaux du roman ne sont ni sympathiques ni intéressants. Ce sont des personnes qui se sont perdues dans la vie. Si les lecteurs prennent quelques moments intimes avec chacun des personnages, ils se rendront compte qu'il est impossible de s'investir dans la narration problématique de chacun.
Je me suis bien posé la question du but de ce compte. Comme avec chaque histoire qui me passe entre les mains, j'ai pris un moment pour faire l'enquête. Est-ce que Senécal voulait que les lecteurs soient coincés entre le doute et l'ennui ? Voulais-t-il que ces lecteurs veuillent voir le désespoir envahir le compte ?
Vous me pardonneriez pour mes commentaires dramatiques. En lisant les minis monologues crantant je me suis retrouvé de nouveau au secondaire, lisant les scènes de massacres avec mes camarades de classe. L'expérience cette fois-ci fut un peu différente. Il ne faut pas se cacher, l'histoire porte sur un sujet qui troublait beaucoup la société dans l'temps.
En contexte moderne, l'idée d'un démon ou d'un mal ultime qui a le pouvoir d'envahir le corps humain pour s'apprêter d'accomplir sont devoir de douleur ne touche plus aux peurs communes. Il y a peut-être quelques lectures pour qui le sujet pénètre encore le coeur, mais à mon avis il s'agit plutôt d'une histoire qui demande le soutien et la patience du lecteur.
Le roman débute avec l'introduction d'une pensée. Le docteur Lacasse s'apprête à partager ses malchances avec le lecteur et avec ce, décide d'intervenir au présent avec une douleur ténébreuse qui lui envahit l'âme depuis quelque temps. Nous nous retrouvons face à une première question ; que signifie le seuil ?
Pour les psychologues des années milles neuf cent quatre-vingt-dix, la santé mentale fut un sujet pertinent et aggravant. Le lecteur prend note de ceci en lisant les paroles du docteur Lacasse. Celui-ci c'est bien perdu dans le mouvement sanguin des ennuis de ses patients. Est-ce que le lecteur se permet de poser jugement sur cette réalité ?
Les plaies de la psychologie entament l'histoire et elle ne fonctionne que par la bonne volonté du temps et des personnes—comme notre narrateur—que se veulent des êtres humbles et croyant, mais qui, au fond d'eux, sont désintéressés aux proverbes qui suscitent des esprits marabouts.
En lisant le parcours du docteur—un homme fort respecté et bien chaleureux dans sont succès de carrière—je me suis demandé ce que l'écrivain voulait nous partager. Je n'ai pas écouté l'histoire du seuil et du patient suicidaire parce que j'ai fait confiance au discours du docteur. En fait, le raccourcit des horreurs m'auraient aussi bien suffit.
L'apprivoisement de la psychanalyse et des maladies souterraines pourraient rendre le cheminement de cette histoire merveilleuse. Au fond d'elle nous retrouvons ce qu'il y a de plus horrible ; la peine. Souffrir en silence ou bien souffrir en saignant de peau et d'eau ; notre personne n'est capable d'acheminer une guérison que par la force et lorsqu'il nous arrive de ne pas la retrouvée en soie, il s'agit d'une expulsion, une panique montreuse comme le volcan avant l'éruption. Si l'image de cette maugréant peine vous êtes familier vous aurez surement la chance de partager l'empathie avec Roy.
Ce ne sera pas sympathique de décrire Thomas Roy comme étant l'antagoniste du roman. À mon avis, l'homme mystérieux et troublé est plutôt victime. D'un côté, il est facile et presque emballant de l'observer, mais il faut bien se rappeler les fait ; Roy est une personne qui souffre grandement et pour qui l'aide n'est jamais offerte.
Si nous prenons un moment pour bien y réfléchir je vous avoue que ce fut dans les moments de panic que je me suis retrouvé avec un sentiment quasiment identique à la haine, se chauffer dans ma colonne vertébrale. Bien sûr, le lecteur pourra décider pour être même ; après tout, Roy est coupable de violence extrême—de meurtre.
Bien que les scènes dans lesquels nous avons la chance d'apprendre à connaître Roy m'ont paru acceptable, mon intérêt était entièrement investie dans les scènes du passé. Un prêtre chauve qui entament l'approbation d'un diable dans le sous-sol d'une église ; quelle belle quête unique et incroyablement bizarre.
Dans le contexte de l'histoire cette recours à la paranoïa des cultes fut comme l'ajout d'un rayon de soleil sur l'eau matinale d'un lac. Mais enfin, j'ai voulu qu'on m'offre plus que ce qui m'était donné. C'est certain que le personnage troublé et entièrement désastreuse du prêtre chauve est un vaurien antagoniste idéale, mais je ne suis pas la lectrice qui lit avec les bras entrouverte attendant les fait de bases.
Senécal à poursuit le doute de soit dans les maladies qui nous trouble de manière invisible, mais qui ne demeure pas cacher du monde. Roy souffre d'une plaie interne qui mange l'âme. Le prêtre qui lui parait en rêves et en forme d'un parasite cannibale lui aussi a souffert d'une douleur en mourir.
Qui fut-là pour les soutenir ? En moment de tristesses et de pertes, qui leurs lui a offerte la main pour entamer le chemin avec eux ? Bien que la guérison de colère et mauvaise fois demeure un projet individuel je ne suis pas certaine que la solitude aie été la solution. Enfin, pourrais-t-on dire que le laisser-faire des gens autour de ces deux hommes ait contribué à une perte de contrôle ?
Ma question est, du coup, difficile à répondre. Bien que ce n'est pas à tous et à chacun de guérir un autre, nous pouvons bien prendre la relève en temps de besoin. Nous voilà dans un hôpital qui offre aux patients la chance de partager le chemin, de plus, ce partage est avec une personne bien qualifié à offrir et donné du soutien au cours de chaque étape.
Quand est-ce que les docteurs de l'hôpital ont agi comme des professionnels ; des gens qui veulent cultiver une réputation comme étant des docteurs qualifiés ? Jeanne agit comme une élève de l'élémentaire et est entièrement incapable d'écouter en entier—ayant toujours envie d'interrompre et poser, à son tour, ses propres questions.
À ce sujet, j'avoue avoir souvent perdue ma patience au cours de ma lecture. Je me suis bien posé la question du but de l'histoire, mais aussi, les motivations des personnages qui ont souvent agi sans réflection. Le docteur Lacasse est un homme troublé par le monde en entier. Jeanne est un docteur incapable d'action professionnelle et n'écoute jamais les conseils des autres. Le prêtre qui s'enfuit et le prêtre qui meurt en accident d'automobile et le prêtre qui souffre la perte de ses parents, tous semblent envahit de motivation insensé. L'histoire n'achève que par le courage du lecteur.
En fin de compte, je trouve bien que l'histoire ce déroule comme suit. Les personnages sont des gens incroyablement frustrant, un peu stupide et malsaines, mais elles sont quand même des gens fonctionnelles. Comme nous le voyons dans le monde réel, les communautés rassasier par amples différences. L'histoire comme telle est moins surprenante que dans le temps de sa publication. Un prêtre qui offre ses prières au diable ne suscite moins de terreur que l'on pourrait retrouver dans le monde cinématique du « The Conjuring: The Devil Made Me Do It » (2021).
Les formes démoniaque et épouvantables nous sommes partagés régulièrement dans les médias sociaux et les nouvelles. Le monde est trop compliqué, en fait trop boudeuse en conséquence de notre peine individuelle et communal, pour que nous demeurions tous innocent des complexités humaines. Cependant, lorsque les lecteurs de coeur monosyllabique et base en humble terreur cherche à retrouver le centre du fruit du genre, je suis confiante dans ma conclusion ; le seuil y sera toujours, paisible en attente au retour de nous tous....more
Un tout petit livre, une toute petite histoire qui demeura avec moi en esprit pour toujours&à jamais.
Pendant ma jeunesse je me suis retrouvé à être seUn tout petit livre, une toute petite histoire qui demeura avec moi en esprit pour toujours&à jamais.
Pendant ma jeunesse je me suis retrouvé à être seule à ne pas avoir lu ce roman. J’aimerais bien pouvoir indiquer une raison concrète, mais ce fut tout simplement parce que cela n’a jamais adonner. Voilà qu’en voyageant de retour au Canada j’ai trouvé mon moment, après tant d’année.
L’histoire suit les aventures du petit prince qui habite une planète solitaire. Celui-ci nous fait part de ces questions philosophiques concernant l’amour&l’amitié. Nous traversons l’univers avec le jeune protagoniste tout en apprenants des leçons importantes vis-à-vis nous-mêmes êtres humains.
Il n’est pas évident de pouvoir distinguer qu’un détail de l’histoire comme étant celui qui m’a le plus touché, qui m’a viré de bord. En terminant ma lecture je me suis sentie un peu coupable de n’avoir pris un moment auparavant pour lire un roman qui est rempli d’autant d’amour.
Je vous encourage tous&chacun de poursuivre la lecture de ce livre. Je suis certaine de me retrouver entre les pages de l’histoire à nouveau au courant de ma vie&dans les années à venir....more
L'écriture de Fontaine à travers cette histoire est très touchante et sincère. Comme lectrice, j'ai put ressentir de l'empathie avec ses émotions, me L'écriture de Fontaine à travers cette histoire est très touchante et sincère. Comme lectrice, j'ai put ressentir de l'empathie avec ses émotions, me mettre dans les situations décrites et surtout bien apprécier tout ce qu'elle me comptait.
Je suggère fortement à tous et a toutes de prendre le temps de lire Shuni. Fontaine a pris le temps de bien raconter des événements sans devoir nous donner tous les détails; nous ressortons avec des émotions bouleversantes. Je me sentais souvent à la place de Shuni (Julie) et je remercie fortement Fontaine pour avoir mis à plume tout ce qu'elle à transcrit....more
Les pensées de Sartre me fascineront toujours. J'ai bien apprécié les explications, les examples et le sujet en général. Ce fut une bonne petite lectuLes pensées de Sartre me fascineront toujours. J'ai bien apprécié les explications, les examples et le sujet en général. Ce fut une bonne petite lecture....more
Il faut d'abord que j'avoue ne pas être dans une humeur approprié pour aborder la lecture de ce livre. L'histoire suit un personnage qui fait de sont Il faut d'abord que j'avoue ne pas être dans une humeur approprié pour aborder la lecture de ce livre. L'histoire suit un personnage qui fait de sont mieux pour survivre et ne pas succomber à ses épisodes dépressives qui lui font parfois vouloir se suicider. Il faut alors être prêt à passer à travers quelques chapitres qui sont parfois difficiles à lire. Cela n'est pas pour dire que l'histoire est mal écrite mais tout simplement pour prévenir le lecteur. Cette histoire porte beaucoup sur la santé mentale et si le lecteur n'est pas dans un état à aborder ce sujet, l'histoire peut sembler difficile à aborder. Tout ceci étant dit, j'ai bien aimer le conte que nous présente Seymour. Je voulais vraiment que le personnage principale puisse avoir des expériences positives et tout le long de ma lecture je le lui souhaitait. Ce livre n'est pas long mais, il vaut la peine. ...more
Avec toute sincérité Victor Hugo est parmi mes écrivains préférés. Sont talent avec les mots et sa capacité de rédiger un roman si puissant en prose mAvec toute sincérité Victor Hugo est parmi mes écrivains préférés. Sont talent avec les mots et sa capacité de rédiger un roman si puissant en prose m'impressionne de plus qu'il ne m'est possible d'exprimer. Cela étant dit, j'avais hésité à embarquer dans la lecture de ce roman. Tous savent qu'Hugo n'est pas un écrivain qui se retient; s'il est nécessaire d'écrire des milliers de pages pour décrire la presse, il va s'y prendre.
Au cours de ma lecture je ne me suis pas sentie comme si on me faisait perdre mon temps. Même ayant des chapitres pleins et plus contenant des détails qui sembleraient nullement lier à l'histoire de base, tous les passages m'ont touché. Chaque passage contient de l'information pertinent et des événements qui se relient à l'histoire de fiction nous lisons.
Les personnages sont divers, intéressants et compliqués; elles sont honnêtes et réelles. Hugo nous fait part de la vie de divers parisiens et le lecteur à la chance de suivre leur séjour à travers la ville; pendant qu'ils espèrent éviter la persécution, le crime, le scandale et les coups de coeur.
Le roman nous fait part de plusieurs thèmes très difficiles à digérés. Les personnages n'ont pas la vie facile ni vont-ils tous retrouver une belle fin. Cependant, j'ai tellement apprécié l'histoire pour cette raison et pour toutes les autres aspects aussi. Ce livre demeurât l'ultime classique sans compétition. ...more
Ce roman fut facile à lire & à apprécier. Nous sommes, dès le début, présenté avec une situation très attristante. Pourtant, même en sachant la concluCe roman fut facile à lire & à apprécier. Nous sommes, dès le début, présenté avec une situation très attristante. Pourtant, même en sachant la conclusion je n’ai pas trouver la lecture de ce lire indésirable. Les personnages sont bien placés; leurs environnements reflète bien leurs intentions en tant que personnes en société et en tant qu’être humain. Cependant, disant cela, il faut que j’avoue que je n’ai pas trouver le roman autant une réflection des classes économiques qu’une simple histoire qui mets-en part les relations variées entres personnes.
Les complexités que nous voyons dérouler au travers de l’histoire peuvent être connectés à des situations économiques ou provenant des conséquences de nos décisions. Par example, le fait que la nounou ne puisse ce permettre de payer sont loyer même ayant un emploie (que nous assumons tient un salaire assez idéal) peut d’un côté être la conséquence des debts de sont époux ou une conséquence de sont manque d’organisation monétaire. J’aimerais souligner que je ne porte aucun jugement peu importe.
La conclusion de l’histoire est comme je l’ai indiqué, très triste. Cependant, nous pouvons bien nous posé la question: quelle est la raison pour ces événements? Est-ce que la nounou se sentait dispensable? Est-ce qu’elle avait peur de ne plus avoir un endroit en dehors de sa réalité auquel elle pouvait se cacher des ses problèmes? Est-ce que le stresse qu’elle portait avec elle au courant de sa vie lui a bouleversé? J’assume qu’il y a plus qu’une raison. Et voilà ou se trouve la réalité dans la littérature....more