AMI, c’est une affaire d’amour, la preuve avec son logo, “l’AMI de cœur”. Dernier crush du label d’Alexandre Mattiussi : Fran Drescher. Interprète mythique de la série culte des nineties Une Nounou d’Enfer, désormais présidente du syndicat américain Sag-Aftra (à l’origine de la grève qui a paralysé Hollywood en 2023), la star avait fait sensation au premier rang du défilé automne-hiver 2024-2025 de la marque AMI. Puis, c’est à la cérémonie des Oscars le 10 mars 2024 qu’elle est apparue sur le tapis rouge dans une création signée AMI (qui s’attaque désormais aux red carpets de cinéma). Jamais deux sans trois ? Ce 18 mars, on apprenait que la star était désormais le visage de la campagne de l’été !
Fran Drescher, une amie d’AMI
Dans un long manteau cintré ou un ensemble vert, un sac à logo à la main, Fran Drescher prouve ainsi qu’elle est la parfaite fille AMI. Photographiée aux abords de la place des Victoire, où est situé le QG de la marque, l’actrice joue la carte du chic et rappelle son statut d’icône de mode, dûment mérité en 146 épisodes d'Une Nounou d’Enfer, série qu’elle a co-créée. Les looks de son personnage continuent de fasciner près de vingt ans après, devenant des inspirations toujours marquantes sur les réseaux sociaux qui décryptent (et recréent) à foison les tenues de la plus célèbre des nannys.
Les icônes des années 90, pour toujours fashion !
AMI célèbre depuis toujours les actrices et le monde du cinéma quand il s’agit de choisir qui incarnera l’image de la marque (on ne compte plus le nombre de pointures du septième art français que l’on a repéré aux abords et même sur son podium). Mais en faisant appel à Fran Drescher, c’est aussi le choix de la nostalgie que l’on remarque, un phénomène qui a le vent en poupe. Chez Jacquemus, c’est Kristin Davis, l’éternelle Charlotte York de Sex & The City, qui incarnait la dernière collection. On sent, chez les créateurs, l’envie de célébrer les femmes avec lesquelles ils ont grandi et qui les ont inspirés. A la clé, on a aussi des actrices qui approchent ou sont dans la soixantaine qui deviennent les égéries de maisons. Et ça, ça fait du bien !