Certainement un peu magicien, évidemment fabuleux conteur, Serge Lutens nous raconte une nouvelle histoire en dévoilant sa dernière création: l'Eau froide.

Une histoire qui commence avec un arbre planté au milieu du désert de Somalie, l'arbre à encens. Sa résine, dans son écoulement, dégage une fraicheur minérale en réaction à la chaleur désertique. Une fraicheur glaciale qui a désormais son parfum, minéral, épicé, poivré et doux à la fois avec l'Eau Froide de Serge Lutens. Un parfum qui s'offre à vous comme les volutes d'encens dans les églises où vous aimez vous réfugier pour y trouver de la fraîcheur, quand dehors le soleil cogne irrémédiablement… Une belle histoire en vérité, en écho avec la première "Eau", elle-même conçue comme un anti-parfum.

La première "Eau" recrée une odeur, plus qu'un parfum avec cette "impression de netteté qui poursuit l’après-bain, et le confort donné par le linge frais». Dans la même lignée anti-conformiste "L'eau Froide" ne veut pas rafraîchir comme les "Cologne faussement rafraichissantes dont l'alcool s'évapore pour ne laisser plus que les notes hespéridées sur votre peau", elle brise la glace, surprend et vous enveloppe à la fois. Un petit bijou olfactif.



Eau de parfum L’Eau Froide de Serge Lutens, flacon 50 et 100 ml, 69 et 100 euros