- Un directeur créatif
Derrière la « success story » Desigual se cache un homme discret qui n'a jamais renié ses convictions. En 1984, Thomas Meyer, Suisse installé à Barcelone, recycle un stock de jeans, les découd et les réassemble pour créer des vestes. Desigual et son patchwork-signature étaient nés. Aujourd'hui encore, le fondateur travaille au milieu de ses équipes.
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- Un état d'esprit collectif
La liberté n'y est pas un vain mot. En placement libre dans un bâtiment ultramoderne face à la mer, les mille salariés vont surfer pendant les pauses déjeuner et organisent des réunions sur la terrasse.
- Une inspiration libre
Thomas Meyer demande à ses directeurs artistiques (dont Christian Lacroix) de se contraindre à un mois « computer off » (sans ordinateur) en début de collection. L'inspiration doit venir de la réalité qui les entoure. Parfois haute en couleurs.
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- Un slogan hédoniste
« La vida es chula » (« La vie est cool ») : ce slogan atteste que pour Desigual la mode est une fête. La marque l'a emmené vers de nouveaux horizons, comme lors des « naked parties » où la clientèle arrivant nue en boutique repartait habillée gratuitement.
- Une ville d'adoption
Si Barcelone reste le centre névralgique et historique de la marque, c'est à New York, pendant la fashion week, que, depuis septembre 2013, sont dévoilées les collections.
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- Une croissance record
Plus de trente ans après sa création, Desigual compte aujourd'hui plus de cinq cents boutiques à travers le monde. Et alors qu'en 2000 son chiffre d'affaires atteignait vingt millions d'euros, il vient de dépasser le milliard. « La vie est cool », oui.