Sylvie Rasoarahona’s Post

🎙 Merci à Trench Tech d'avoir donné de l'écho au numérique d'intérêt général ! Dans cet épisode, nous sommes revenus sur : ➡ L’épopée de l’open data dans la sphère publique, avec ses victoires (pas toutes citées mais pour n’en rappeler que quelques unes la Base SIRENE des entreprises, la base DVF des transactions immobilières, ou plus récemment et non sans effort les contours de bureaux de vote ( 👋 Joël Gombin), les données METEO FRANCE, ou encore l’IPS 👋 Alexandre Léchenet…), ses aspirations comme levier d’ ”empowerment” citoyen, mais aussi ses limites - que Samuel Goëta a très bien mises en lumière récemment.   🔥 Spoiler : Rien n’est acquis, et il faut que les forces vives à l’intérieur comme à l’extérieur de l’administration restent actives et vigilantes ! ➡ La numérisation du service public, et l’opportunité que peut constituer l’IA Générative pour l’inclusion de certains publics ➡ La donnée publique comme une infrastructure essentielle (sur laquelle se bâtissent les services publics comme privés), et le sujet de l'infrastructure numérique publique, qui s'avère un levier d’influence et un front géopolitique pour nombre de pays 🌍 C'est aussi l'occasion d'ouvrir le débat : 💡 Doit-on imaginer un service public de l'IA et quels en seraient les contours ? 💡 Qu’est ce que l’ #opendata à l’heure de l’ #IAgénérative et quels sont les impératifs et conditions d'ouverture à envisager ? (cc Martin Tisné, Pierre-Carl Langlais...) Liens en commentaire, merci Cyrille CHAUDOIT Mick LEVY Thibaut le Masne Etalab - Service du Premier ministre data.gouv.fr Direction interministérielle du numérique (DINUM) Give & Tech

Admettons que vous ayez sept mille milliards de dollars sur votre compte en banque, c'est à dire en gros 3 fois le PIB annuel de la France. Vers quoi penseriez vous qu'il est prioritaire de flécher cet argent ? Vers les usines de fabrication de puces plus performantes que celles actuellement disponibles, répond Sam Altman, le patron d'Open AI, connu pour avoir créé Chat GPT, avancée évidemment décisive vers un monde plus sympathique à vivre :). Sam Altman est un homme optimiste. Il en faut pour faire avancer le monde, et ce n'est pas moi qui vais dire le contraire. Mais la frontière est parfois ténue entre l'optimisme et l'illusion d'optique. L'entrepreneur américain est déjà très optimiste sur ce que l'intelligence artificielle va amener à la condition humaine. Il soutient par exemple que cette technologie va améliorer l'enseignement (https://t.ly/--neW ), nonobstant les études disponibles qui disent que les écrans numériques ont des effets délétères sur les enfants. Son "enfant" pourrait utiliser des quantités considérables d'énergie ? Ce n'est pas un sujet : bientôt la fusion va régler deux problèmes en un (https://t.ly/IV8HK ) : elle fournira l'énergie illimitée nécessaire au fonctionnement des ordinateurs, et du reste tant que nous y sommes. Du reste, l'intelligence artificielle est aussi vue - par des américains :) - comme pouvant aider à résoudre le problème climatique (https://t.ly/KehUe ). Que du bonheur, donc. Plus sérieusement, on peut évidemment douter des convictions évoquées ci-dessus. Actuellement, le système digital mondial sert avant tout aux vidéos que les gens font machinalement défiler sur leur smartphone ou sur d'autres écrans, et se nourrit largement de publicité, qui ne pousse pas vraiment à la décarbonation. On voit mal comment "l'intelligence artificielle" supprimerait les sécheresses, les canicules ou les ouragans, ou empêcherait la montée de l'océan, la fonte du Groenland ou la migration des moustiques. On voit mal comment elle isolerait les bâtiments, convaincrait les habitants des pays industrialisés de se mettre au vélo et les habitants des pays non industrialisés d'y rester, et préserverait les poissons et les espèces en voie de disparition. On voit mal comment elle influerait dans le bon sens sur notre tendance à accumuler et à en vouloir toujours plus (ce dont Sam Altman est une parfaite incarnation). Tout cela ne serait pas très grave si l'intelligence artificielle était un gadget dans un coin, utilisant un peu d'argent de poche de milliardaires qui préfèrent cela à jouer avec des trains électriques. Mais, au niveau d'investissement qui est envisagé, le problème est que cela va créer un effet d'éviction majeur sur les moyens humains (surtout) et matériels qui pourraient réellement être mis au service de la "durabilité" du monde. Tant que l'on s'occupe de faire des logiciels qui rédigent des dissertations à notre place, on ne fait pas autre chose.

Ce fut l'un de ces moments magiques où un sujet transformateur, capital et passionnant rencontre un auditoire exigeant, ouvert et critique à la fois. Grand merci donc au Club des Dirigeants d’Ile-de-France de la Caisse des Allocations Familiales d’avoir invité elendi à donner une conférence sur l’Intelligence Artificielle générative. Le débat riche et animé s’est prolongé pendant plus de deux heures - et même trois, autour de quelques rafraichissements. L’exposé approfondi nous a permis de partir des fondamentaux de l'IA générative et d’en exposer les principes, les points forts et les bénéfices, les limitations et les risques, les applications, l’évolution prévisible. Nous avons ensuite pu en dérouler implacablement toutes les implications sur les collaborateurs, sur la noble institution elle-même et sur le futur de l’humanité ! L’une des seules questions qui vaille est la suivante : comment se préparer activement à cette nouvelle ère ? Nous avons évoqué la transition des compétences. Cela a (entre autres) été l’occasion pour chacun d’évaluer sa compétence en IA générative en utilisant l’IA générative, grâce à la plateforme Elendi - probablement ce qui se fait de mieux actuellement en alliant la théorie de la mesure, la technologie IA de la mesure et la connaissance de l’IA en tant que domaine mesuré. Le résultat : un diagnostic et des recommandations fiables, immédiats et ultra personnalisés. Merci en particulier particulier aux organisateurs Emmanuel Gouault et Carol Siret ainsi qu’aux équipes dirigeantes des huit CAF d’Ile de France. CNAF Bernard Golstein Mito Mackin #iagenerative #genai #competences #mesure #recommandations #talent #impactsocial #futurereadinessassessment #futureofwork #futurdutravail

💡Sociétés à mission : de quoi s’agit-il ? Ce statut, créé par la loi #Pacte est prisé par les sociétés de la #tech. Il leur permet d’intégrer dans leur statut une raison d’être, à savoir des principes dont l’entreprise se dote et « pour le respect desquels, elle entend affecter des moyens dans la réalisation de son activité ». 🔎 En quoi consiste la société à mission et pourquoi attire-t-elle plus particulièrement les entreprises du numérique ? Garance Mathias et François Gorriez ont répondu aux questions de Sylvie Rozenfeld. ➡️ Retrouvez l'interview dans Expertises des systèmes d’information et ci-dessous 👇 #numérique #tech #mission #raisondetre #éthique #RSE #vigilance Mathias Avocats

Découvrez dans le millésime 2024 du Numerikissimo 📖 , l'annuaire des leaders du digital Ludovic Dubost Fondateur et Président Directeur Général de XWiki SAS 🔎Voici sa vision du numérique 🔎 Ce que je souhaite pour le numérique est que nous allions vers un numérique plus standard et plus fait de “Communs numériques” et beaucoup moins de monopoles. Je suis convaincu de l’importance de la souveraineté numérique européenne et du rôle que les logiciels libres et les standards ont pour faire progresser celle-ci. 💡 Ses conseils en matière de stratégie numérique 💡 Rebond sur la citation de Coluche "Quand on pense… qu'il suffirait que les gens ne les achètent plus pour que ça se vende plus !" Elle est vraie pour notre usage de l’informatique. Si l’on veut des alternatives européennes et/ou des alternatives libres et respectueuses de la vie privée, il faudrait commencer par arrêter d’acheter (ou d’utiliser) les solutions qui ne le sont pas. Mettre par exemple WhatsApp à la poubelle pour Signal ou Twitter pour Mastodon, Office 365 pour les plateformes européennes, libres si possible. Ses numériciens à connaître 😍 ➡ Tristan Nitot ➡ Fabrice bellard ➡ Frank Karlitschek Les startups coup de coeur 👉 ✔ Murena ✔ OpenProject ✔ Signal Foundation ✔ Matrix / Element Découvrez l'annuaire 2024 au complet sur ce lien : https://numerikissimo.fr #digital #numérique #Numerikissimo #transformationdigitale #transformationnumérique

J’ai 7 prédictions sur l’IA (et j’en suis sûr à 99%) 👇 1) L'IA va accentuer la médiocrité des médiocres, et décupler l'excellence des excellents. Aucun domaine n'y fera exception. L’IA n’est pas une broyeuse à vocations. C’est un coefficient multiplicateur. 2) L'IA ne remplacera pas les artistes. Elle les amplifiera. En parallèle, elle va faire naître une nouvelle forme d’art où la technique est dissociée du processus créatif. Art technique et art génératif cohabiteront et se nourriront. 3) Les conséquences du Deep Fake et de l'art génératif seront bien moins délétères qu'on ne l'imagine. L'adaptation humaine sera rapide et la proportion de dérives, quoique toujours présentes, se résorbera vite. 4) L'IA va provoquer une crise éthique majeure, puis créer une nouvelle éthique. Dans un espace où tout est falsifiable, l’esprit critique et le droit au bénéfice du doute seront d’absolues nécessités. 5) L'IA nous éduque plus que nous l’éduquons. Sa courbe de progression suit une courbe stable. En revanche, nos vies changent peu à peu du tout au tout. 6) L'IA n’est pas une révolution technologique, mais philosophique. Elle existe depuis des années. Son progrès est juste constant. La vraie singularité, c’est qu’elle retire le pouvoir à ceux qui savent pour le donner à ceux qui savent demander. 7) La frénésie capitalistique qui accompagne l'IA va entraîner une nouvelle guerre de chapelles. Chacun y ira de son modèle, de son outil, de sa méthode préférée. De nouvelles tribus se formeront. L'ère de l'ouverture va laisser place à un nouveau cloisonnement. En fait, la prouesse de l’IA, c’est de parvenir à nous amplifier. Dans le meilleur comme dans le pire. Ce qui nous dérange vraiment, c’est notre reflet dans le miroir. – Benoît 🌱🌳

L'IA, vous en entendez parler à tous les coins de rue ... Mais est-ce déjà concret pour vous ? 🤖 👀 💥 Plongez-vous dans le monde de l'innovation et de la technologie. L'IA, mystérieuse ? Pas tant que ça ! 💣 Venez découvrir ses applications concrètes et celles qui sont ou seront dans les prochains mois à la disposition de votre entreprise et de vos équipes. Ne manquez pas cette solution innovante – inscrivez-vous maintenant et donnez à votre entreprise l'élan qu'elle mérite ! 👇 Lien d'inscription en commentaire 👇

Imaginez un monde où générer des vidéos numériques aussi réelles que la vraie vie, ou aussi créatives que la plus débridée des imaginations, devient un jeu d'enfant. C'est la prouesse que réalise aujourd'hui Sora, un véritable joyau technologique qui bluffe même les plus aguerris. Avec l'avènement de Sora, trois vérités fondamentales se confirment : 💡L'Accélération Exponentielle du Changement Technologique Il y a tout juste un an, l'IA générative faisait une entrée fracassante avec ChatGPT. Depuis, les versions se sont enchaînées, apportant des performances toujours plus époustouflantes. Après les progrès fulgurants dans la génération de texte est venue la génération d'images ; c'est maintenant au tour de la vidéo de connaître sa révolution. L'IA générative n'est pas une étape, mais une trajectoire qui exige clairvoyance et audace. 🖥️La maîtrise de ces nouvelles technologies est essentielle Comprendre et maîtriser l'IA générative, c'est s'armer de super-pouvoirs. Pour un agent de voyage, par exemple, Sora permet de créer des vidéos captivantes et pertinentes en quelques mots seulement. Mais ne pas les comprendre, c'est s'exposer à des manipulations dangereuses, qu'elles soient politiques, financières ou réputationnelles. Plus encore, c'est risquer de devenir professionnellement obsolète. 📚L'Importance Cruciale de la Transition des Compétences Notre avantage concurrentiel peut s'évaporer si nous ne nous adaptons pas. Il est impératif de repenser stratégiquement notre portefeuille de compétences, pour collaborer avec les machines, se protéger de leurs potentielles menaces, et surtout se distinguer d’elles en développant les compétences universelles qui comptent. Cette préoccupation est encore plus cruciale pour les entreprises, dont les compétences du personnel doivent rester pertinentes, de manière dynamique. Chez elendi , nous vous accompagnons dans cette aventure : montée en compétences sur l'IA générative, mais aussi renforcement des compétences essentielles pour aujourd'hui et demain. Nous vous aidons sur les quatre piliers fondamentaux de l'intelligence. 🌟 Vous aussi souhaitez que votre organisation excelle aujourd'hui et se prépare pour le futur ? Contactez-nous. Mito Mackin Jean-Luc Bernard Jean-Stéphane Arcis Vincent Poussier Laurent Dedenis Guillaume de Kervénoaël Laure Joly Adrien Benoliel Carol Siret Sabine Bohain Catherine Le Floch Alice Tagger The HR Lab Julien Couderc Alex Bouaziz Rodolphe Pavillon Marion Denoyelle #iagénérative #futurdutravail #compétences #sora #openai #talent #responsibleai Prompt (credit OpenAI) "Aerial view of Santorini during the blue hour, showcasing the stunning architecture of white Cycladic buildings with blue domes. The caldera views are breathtaking, and the lighting creates a beautiful, serene atmosphere (more)"

📢🌊 Une entreprise veut créer des plateformes en mer pour entraîner des #IA, sans respecter aucune loi : habitées par des mercenaires et des militaires, ces plateformes seraient des États-nations indépendants. Ce beau projet imaginé par l'entreprise Del Complex porte le nom de BlueSea Frontier Compute Cluster (#BSFCC) Del Complex se vante d’être une « société de réalité alternative », spécialisée dans l’#IA, dont le but est de développer une IA générale qui pourrait être implantée dans le cerveau humain grâce à des prothèses neuronales. Pour parvenir à ce but, l’entreprise a non seulement besoin de beaucoup de puissance de calcul, mais surtout d’une législation la plus souple possible, ce qui n’est pas réellement la tendance actuelle (#AIAct, #G7, #executiveorder...) Selon elle, les législations « ralentissent le rythme de l’innovation », et « interfèrent également avec le don cosmique de l’humanité » qu’est l’#IA... Ce qu'elle propose en conséquence ? Déployer des plateformes maritimes dans le cadre du projet #BSFCC, équipées de nombreux ordinateurs et d’une énorme puissance de calcul, dans les eaux internationales : installées à cet endroit, les plateformes n’auraient pas besoin de respecter les différentes réglementations sur l’IA... De la sorte, elles ne seraient « pas gênées par les règles juridiques conventionnelles », et pourront « accéder à des documents autrement restreints, qu’il s’agisse de documents protégés par des droits d’auteur, de documents d’entreprise ou de documents confidentiels ». L’entreprise précise, a toutes fins utiles, que ces plateformes États-nations, seraient habitées par « une population permanente de militaires venant de nations alliées, et de personnels de Xio Sky Security Solutions », une entreprise de mercenaires... En guise de conclusion, toujours selon l'entreprise, « alors que le monde délibère sur l’avenir de la réglementation de l’IA, Del Complex invite les visionnaires à embarquer pour un voyage vers la prochaine frontière de l’innovation de l’IA, avec le BlueSea Frontier Compute Cluster... ». Un scénario qui se rapproche étrangement de la P-Nation imaginé par la #RedTeam de Université PSL et du Ministère des Armées. Source : Aurore Gayte. Crédits : Craiyon🖍 #IA #AI #InfoSec #CyberSec #Prospective

Comme tout le monde parle de l’IA d'un monde meilleur à venir, des neurones humains et agiles pourraient nous éclairer. Ils étaient début février lors du Forum Européen de Bioéthique à Strasbourg. J'ai assisté à « L’IA au coeur des relations humaines : entre promesses et préoccupations » : le juste sujet de nous, sujets. Israël Nisand, fondateur du Forum, résume les 4 premiers jours des échanges :  L’IA n’est pas intelligente, elle est mal nommée Peut-on l’arrêter ? Non Est-ce que l’IA « problématise » ? Oui Est-elle profitable ? En tant que médecin, il dit « oui » Est-elle dangereuse ? Oui cf les élections à venir Peut-on maîtriser quelque chose ? Non. Faut-il réguler ? Cela ne servira pas à grand chose, sauf à terme avec un Tribunal International du Numérique. L’IA change-t-elle nos cerveaux ? Oui, un peu… A-t-on conscience de l’IA ? Non, mais cela changera nos sociétés en profondeur Il faut éviter de déraper vers la loi du plus fort, c’est ce qui reste quand les États s’effacent… Décor bien planté, la parole à Elsa Godart (à partir de 38’43’’ https://bit.ly/48xk8Q8 ) pour qui la question n'est pas de savoir si l’IA est bonne ou mauvaise. C’est nous en tant que sujets et notre mode de fonctionnement avec ces technos qu’il faut penser. Avec son verbe rapide, Elsa dit les 7 points menacés : notre identité singulière, notre conscience, notre désir et notre imagination, nous en tant qu’homo loquens, avec notre liberté, avec notre corps pulsionnel ce qui fait de nous des sujets en relations. A l’éthique du numérique très documentée, Elsa « oppose » 3 objections vs l’IA :  Les règles actuelles sont générales ou trop particulières sur un sujet trop vaste. L’IA en médecine peut améliorer la santé. Mais l’IA peut aussi détruire des vies en fabriquant des fake-nudes. Il faut décentrer le sujet de l’éthique numérique faite aujourd’hui à partir des technos et pas à partir de nous sujet. C’est la philosophie qui nous invite à réécrire les fondements de l’éthique. Et Elsa de nous proposer 7 principes d’une éthique du numérique pour nous sujets.  1. Commencer par le principe hippocratique : quelles sont les nuisances possibles de l’IA ? 2. Posons le principe de consentement libre et éclairé à l’usage de cet algorithme et de ses conséquences ? 3. Questionnons notre ipséité, notre identité de sujet subjectif est-elle menacée ? 4. Notre responsabilité : faut-il interdire avant d’autoriser cette innovation ? Quelles limites ? Quel cadre ?  5. Notre sens du bien commun, quel bien voulons-nous pour quel monde ? 6. La décence qui préserve l’essentialité de notre lien au monde et à l’autre 7. L’anticipation pour replacer l’utopie au coeur de notre champ social et de la conservation de l’humanité dans un temps long. « C’est finalement notre chance rare que de redéfinir ce que nous voulons transmettre et bâtir avec force et courage » conclue Elsa. Un juste sujet auquel Aristote, Kant et surtout Hans Jonas ont répondu présents. Que nos lumières brillent !