![L’Amérique d’abord, la liberté en dernier](https://cdn.statically.io/img/mobile-img.lpcdn.ca/v2/357x/r3996/34c55be0/311b730f-8feb-11ea-b33c-02fe89184577.jpg)
L’Amérique d’abord, la liberté en dernier
La droite populiste et la gauche radicale mettent la démocratie en péril
La droite populiste et la gauche radicale mettent la démocratie en péril
Au-delà des titres, l'actualité bouleverse souvent des vies. Des gens au cœur des manchettes se racontent.
Le mois dernier, Willie Mays est mort à l’âge de 93 ans. À l’annonce de son départ, il y a eu unanimité : Mays était le meilleur joueur de baseball de tous les temps. Les nombreux éloges qui lui ont été réservés n’ont suscité ni controverses ni débats.
À une époque où on s’inquiète beaucoup de la polarisation, où les gens s’engueulent pour un rien dans les réseaux sociaux, est-il plus facile de se retrouver dans le rire ? Notre chroniqueuse est allée assister à des soirées d’humour pour le savoir.
Je n’en peux plus de commencer mes journées par la lecture d’articles de journaux qui rapportent, beaucoup trop souvent, un nouveau féminicide, des violences sexuelles, des cas de harcèlement, des séparations traumatisantes, des femmes qui ont peur.
McDonald’s, Walmart, Superman, Viagra, la route 66, Oprah, Elvis Presley…
Il y a bientôt un an, La Presse lançait une section dans laquelle chaque jour de la semaine, depuis, nous mettons de l’avant l’échange, l’écoute, le dialogue.
Dans les heures qui ont suivi la tentative d’assassinat contre Donald Trump, une toute petite phrase dans le récit d’un journaliste du New York Times qui était sur place a retenu mon attention.
Comment réagiriez-vous si on vous apprenait que le CHU Sainte-Justine venait d’être bombardé ?
Il n’y a rien de plus frustrant que de ne pas se sentir écouté. D’avoir l’impression que des décisions sont prises au-dessus de nos têtes, sans égard pour leur impact dans notre quotidien.
Dans Quelqu’un doit parler, l’essayiste et professeur de littérature Mathieu Bélisle et l’urgentologue et écrivain Alain Vadeboncœur proposent un échange riche et pas morbide pour deux sous sur la mort. Notre chroniqueuse s’est entretenue avec les deux auteurs. Extraits choisis d’une longue conversation.
Savez-vous ce que j’admire le plus chez l’être humain ? C’est sa capacité à admettre son ignorance. Le fait qu’il puisse dire : je ne sais pas.
Dans tout le vacarme des deux tours des élections législatives françaises, une voix calme, posée et ferme a réussi à se faire entendre. Marine Tondelier, cheffe du parti Les Écologistes, a surpris la scène politique avec un style respectueux… et souriant.
Manon Massé apprend à mieux prendre soin d’elle. Avec trois hospitalisations en cardiologie depuis quelques mois, elle n’a plus le choix. Elle doit définir ses priorités. Elle a accepté d’en discuter avec moi.
Comment créer des liens avec les personnes en situation d’itinérance plutôt que de les tolérer comme si elles étaient une nuisance ?
L’auteur s’adresse à France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation.