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Le Paris des Merveilles #1
Les Enchantements d'Ambremer
Une aventure de Louis Denizart Hippolyte Griffont, mage du Cercle Cyan, sur rendez-vous uniquement. Un roman de Fantasy dans un Paris 1900 qui cohabite avec l’Outre-monde : entre brigades du tigre et licornes, entre mages et Belle Epoque, les débuts d’un couple d’enquêteurs tenant à la fois d’Arsène Lupin de Mata-Hari et de Gandalf le Gris. Une Fantasy “ steampunk ” qui renouvelle formidablement le genre...
350 pages, Mass Market Paperback
First published January 1, 2003
About the author
Pierre Pevel
72 books200 followersPierre Pevel est l’un des fleurons de la Fantasy française. Il a obtenu le Grand Prix de l’Imaginaire en 2002 et le prix Imaginales 2005. Avec une verve romanesque digne des grandes heures du feuilleton populaire, il signe là tout à la fois un hommage aux romans de cape et d’épée, un récit historique admirablement documenté et une Fantasy épique à grand spectacle. La trilogie des Lames du Cardinal est un éclatant succès déjà traduit en sept langues y compris, événement sans précédent, en Grande-Bretagne et aux États-Unis ! Le premier volume a par ailleurs remporté le David Gemmell Morningstar Award du meilleur premier roman, en 2010.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 197 reviews
July 23, 2018
Si j'ai tant tardé à écrire cet avis c'est parce que j'avais, comme Pevel ose écrire, la flemme. Qu'en dire, à part ma consternation ? C'est ça, l'imaginaire français ? Une suite paresseuse de péripéties, dictée par la prétention de son narrateur ? Une enfilade de dialogues, personnages et scènes si convenue que j'en bâille encore ? Le Paris de la Médiocrité, oui.
(J'attends peut-être un peu trop de mes compatriotes ; m'enfin, les gars, faut viser plus haut. On creuse, là.)
Sachez, d'abord, que le narrateur se croit ici fort facétieux, apostrophant son lecteur, l'enjoignant même (!) à relire les précédents chapitres pour vérifier ses dires - quant il ne fanfaronne pas sur ses connaissances du Paris historique, en tartinant sur des pages et des pages, coupant parfois la chique aux dialogues ! La digression, en littérature, demeure un art... qui se marie mal, en l'occurrence, avec un style dont tout l'attrait réside dans sa propension à mêler registre familier et Belle Époque. L'extrait qui suit ouvre quelques trois pages sur l'architecture parisienne, le tout pour parvenir à l'Opéra Garnier, où nous attend un personnage secondaire :
De fait, la narration brille plutôt par sa banalité, voire son côté bancal : beaucoup de répliques s'adressent clairement au lecteur, forcent les personnages à évoquer les lois de leur monde sans subtilité aucune. Y figurent, aussi, des civilités inutiles - bonjour, au revoir, comment allez-vous ? - et des réactions... peu spontanées. Ainsi :
Le narrateur ne semble avoir à sa disposition qu'une poignée d'adjectifs - grand, mince, élégant, distingué et bel homme, avec, pour la variété, quelques messieurs dont la position sociale se repère à leur embonpoint. Je ne doute, certes, du raffinement de la bonne société parisienne ; cependant, au bout du cinquième bonhomme introduit de cette façon, on s'y perd un peu. Cela coïncide avec sa fâcheuse tendance à s'écouter parler et donc, de placarder une étiquette au front d'un mec au lieu de nous la transmettre par ses gestes, ses paroles. Dois-je gober la prestance de Griffont comme on m'assomme de passages d'encyclopédie ? Lui qui songe, et vlan ! voilà pour ma pomme ?
(Une réplique se termine très exactement par « ? ! ? ». Méditons.)
Le narrateur agace enfin par son voyeurisme assumé lorsqu'il s'agit des femmes et de la souffrance des minables. Si l'on admet l'embonpoint chez les hommes, chacune des deux* (!) femmes présente une « taille serrée », « fine », en un mot « mince » malgré – je cite ! – les « canons de l'époque ». Quasi-railleur, il mentionnera une « dodue diva » et, comme l'héroïne dissipe son déguisement de – comprenons – laideron rondelette, elle « port[e] encore les mêmes vêtements mais bien mieux ». Ne croyez pas ces dames déplaisantes à l'oeil : il nous indique des « charmantes rondeurs » et ne s'abstient pas de clarifier qu'Isabel, pour un cambriolage, enfile « une combinaison moulante qui ne laissait rien ignorer de ses formes ».
Ce regard pesant sur elle contraste d'autant avec le reste du texte que le narrateur s'infiltre dans les pensées de Griffont et des divers messieurs, mais préfère observer extérieurement Isabel. Un voyeurisme similaire imprègne toute une scène de torture où, avec minutie, le narrateur spécifie les défaillances corporelles provoquées par la panique. Gratuit et abject.
(*De mon calcul j'exclus l'antagoniste que l'intrigue balaie aussitôt rencontrée. Une froide femme fatale, remplissant les critères du dessus.)
Du reste, je m'en souviens peu : de vilaines caricatures méritant leur titre de « méchants », zigouillées en un clin d'oeil et puis, il est encore trop demandé à ce que ces dames soient davantage considérées que des potiches. Si tout va bien, dans quelques années, on les prendra simplement pour des cruches.
Tenez : le cercle Cyan, auquel appartient Griffont, défend l'égalité, est gouverné par des « principes moraux et généreux »... jusqu'à un certain point, c'est-à-dire l'ajout de « ne » à magicien. Ou : les fées, une fois humanisées, sont guettées par la mort... et la vieillesse, ô horreur ! que pourrait davantage terrifier une femme, à part les rides ? ah ! il est vrai : les araignées. Les hommes, eux, sont hantés par leurs victimes, ne sont pas blessés à l'apogée de l'intrigue et pourchassent bêtement leurs enemis. Mieux vaut un héros mort qu'un lâche vivant, hein ?
De part et d'autre, ce livre accumule les gâchis : les points de vue s'enchaînent sans cohérence ni intérêt, retardant une intrigue qui, à la centième page, soit presque un tiers, ne pointait toujours pas le bout de son nez ; les idées se mélangent, jamais vraiment utilisées, comme cette « magie innée » que possède un personnage, vite assassiné ; ces incursions entre les mondes, tenant du shopping ; ce cadre même, enseveli sous les explications modernes... à la fin de ma lecture, une seule question m'assaillit : tout ça pour ça ?
Eh ben.
(J'attends peut-être un peu trop de mes compatriotes ; m'enfin, les gars, faut viser plus haut. On creuse, là.)
Sachez, d'abord, que le narrateur se croit ici fort facétieux, apostrophant son lecteur, l'enjoignant même (!) à relire les précédents chapitres pour vérifier ses dires - quant il ne fanfaronne pas sur ses connaissances du Paris historique, en tartinant sur des pages et des pages, coupant parfois la chique aux dialogues ! La digression, en littérature, demeure un art... qui se marie mal, en l'occurrence, avec un style dont tout l'attrait réside dans sa propension à mêler registre familier et Belle Époque. L'extrait qui suit ouvre quelques trois pages sur l'architecture parisienne, le tout pour parvenir à l'Opéra Garnier, où nous attend un personnage secondaire :
Jusqu'au milieu du XIXe siècle, Paris était encore par bien des aspects une cité médiévale insalubre dont il ne faisait pas bon arpenter le dédale des rues à la nuit tombée. Durant le Second Empire, cependant, la ville changea radicalement de visage après de gigantesques travaux d'urbanisme. Sous la direction du baron Haussmann, préfet du département de la Seine, Paris se métamorphosa (…). En deux décennies à peine, elle gagna ainsi 145 km de voies nouvelles, 570 km d’égouts souterrains, 1780 ha de parcs (dont le bois de Boulogne et Vincennes) et quelques centaines d'immeubles publics ou privés.
De fait, la narration brille plutôt par sa banalité, voire son côté bancal : beaucoup de répliques s'adressent clairement au lecteur, forcent les personnages à évoquer les lois de leur monde sans subtilité aucune. Y figurent, aussi, des civilités inutiles - bonjour, au revoir, comment allez-vous ? - et des réactions... peu spontanées. Ainsi :
— Bonjour, doyen. Je vais bien, merci. Et vous-même ?
Delveccio haussa les épaules.
— Ma santé est aussi bonne que je peux l'espérer. Vous verrez quand vous aurez mon âge...
— Vous voulez dire quand j'aurai neuf cents ans ?
— Je n'en ai que huit cent soixante-dix-neuf, paltoquet... Mais dites-moi, il faut que l'affaire soit grave pour que vous m'obligiez à renoncer à ma sieste dominicale...
Le narrateur ne semble avoir à sa disposition qu'une poignée d'adjectifs - grand, mince, élégant, distingué et bel homme, avec, pour la variété, quelques messieurs dont la position sociale se repère à leur embonpoint. Je ne doute, certes, du raffinement de la bonne société parisienne ; cependant, au bout du cinquième bonhomme introduit de cette façon, on s'y perd un peu. Cela coïncide avec sa fâcheuse tendance à s'écouter parler et donc, de placarder une étiquette au front d'un mec au lieu de nous la transmettre par ses gestes, ses paroles. Dois-je gober la prestance de Griffont comme on m'assomme de passages d'encyclopédie ? Lui qui songe, et vlan ! voilà pour ma pomme ?
(Une réplique se termine très exactement par « ? ! ? ». Méditons.)
Le narrateur agace enfin par son voyeurisme assumé lorsqu'il s'agit des femmes et de la souffrance des minables. Si l'on admet l'embonpoint chez les hommes, chacune des deux* (!) femmes présente une « taille serrée », « fine », en un mot « mince » malgré – je cite ! – les « canons de l'époque ». Quasi-railleur, il mentionnera une « dodue diva » et, comme l'héroïne dissipe son déguisement de – comprenons – laideron rondelette, elle « port[e] encore les mêmes vêtements mais bien mieux ». Ne croyez pas ces dames déplaisantes à l'oeil : il nous indique des « charmantes rondeurs » et ne s'abstient pas de clarifier qu'Isabel, pour un cambriolage, enfile « une combinaison moulante qui ne laissait rien ignorer de ses formes ».
Ce regard pesant sur elle contraste d'autant avec le reste du texte que le narrateur s'infiltre dans les pensées de Griffont et des divers messieurs, mais préfère observer extérieurement Isabel. Un voyeurisme similaire imprègne toute une scène de torture où, avec minutie, le narrateur spécifie les défaillances corporelles provoquées par la panique. Gratuit et abject.
(*De mon calcul j'exclus l'antagoniste que l'intrigue balaie aussitôt rencontrée. Une froide femme fatale, remplissant les critères du dessus.)
Du reste, je m'en souviens peu : de vilaines caricatures méritant leur titre de « méchants », zigouillées en un clin d'oeil et puis, il est encore trop demandé à ce que ces dames soient davantage considérées que des potiches. Si tout va bien, dans quelques années, on les prendra simplement pour des cruches.
Tenez : le cercle Cyan, auquel appartient Griffont, défend l'égalité, est gouverné par des « principes moraux et généreux »... jusqu'à un certain point, c'est-à-dire l'ajout de « ne » à magicien. Ou : les fées, une fois humanisées, sont guettées par la mort... et la vieillesse, ô horreur ! que pourrait davantage terrifier une femme, à part les rides ? ah ! il est vrai : les araignées. Les hommes, eux, sont hantés par leurs victimes, ne sont pas blessés à l'apogée de l'intrigue et pourchassent bêtement leurs enemis. Mieux vaut un héros mort qu'un lâche vivant, hein ?
De part et d'autre, ce livre accumule les gâchis : les points de vue s'enchaînent sans cohérence ni intérêt, retardant une intrigue qui, à la centième page, soit presque un tiers, ne pointait toujours pas le bout de son nez ; les idées se mélangent, jamais vraiment utilisées, comme cette « magie innée » que possède un personnage, vite assassiné ; ces incursions entre les mondes, tenant du shopping ; ce cadre même, enseveli sous les explications modernes... à la fin de ma lecture, une seule question m'assaillit : tout ça pour ça ?
Eh ben.
January 20, 2022
4,5* много ми хареса,надявам се скоро и следващите да излязат
February 20, 2023
Paris mis à l’honneur tout en fantastique !
Avec un titre pareil inutile de vous dire que l’intrigue se situe à Paris avec une touche de merveilleux. Mais je vous le dis quand même sait-on jamais. Pierre Pevel a certainement écrit cette saga comme lettre d’amour à notre capitale. Vivant en région parisienne c’était amusant de voir tous les détails de chaque lieu, les noms de rue, les grands sites avec plein d’éléments magiques et surtout à la Belle Epoque. Ici les fées, les gnomes et les elfes vivent en parfaite harmonie avec les humains et teinte de leur féerie le monde tel que nous le connaissons. C’est un univers riche, parfois assez dense qui nous émerveille !
Les personnages sont hyper attachants et différents de ce qu’on peut voir en fantasy. Entre Griffont le mage à la quarantaine passée un chouia tête en l’air et Isabelle de Saint Gil (ma go suuuuuuuur) une femme tout feu tout flamme. J’ai particulièrement aimé la romance qui tout comme les perso change de d’habitude.
L’intrigue était plutôt pas mal, quoique qu’un peu simpliste sur la fin. Plus de profondeur aurait été préférable mais tout se tient et ne nous sommes qu’au début de l’aventure. La plume était tout aussi facile à lire avec le twist original du narrateur externe qui interpelle directement le lecteur. Je ne suis pas très sensible à ce type de narration pourtant je suis sure que ça pourra en ravir certains !
Avec un titre pareil inutile de vous dire que l’intrigue se situe à Paris avec une touche de merveilleux. Mais je vous le dis quand même sait-on jamais. Pierre Pevel a certainement écrit cette saga comme lettre d’amour à notre capitale. Vivant en région parisienne c’était amusant de voir tous les détails de chaque lieu, les noms de rue, les grands sites avec plein d’éléments magiques et surtout à la Belle Epoque. Ici les fées, les gnomes et les elfes vivent en parfaite harmonie avec les humains et teinte de leur féerie le monde tel que nous le connaissons. C’est un univers riche, parfois assez dense qui nous émerveille !
Les personnages sont hyper attachants et différents de ce qu’on peut voir en fantasy. Entre Griffont le mage à la quarantaine passée un chouia tête en l’air et Isabelle de Saint Gil (ma go suuuuuuuur) une femme tout feu tout flamme. J’ai particulièrement aimé la romance qui tout comme les perso change de d’habitude.
L’intrigue était plutôt pas mal, quoique qu’un peu simpliste sur la fin. Plus de profondeur aurait été préférable mais tout se tient et ne nous sommes qu’au début de l’aventure. La plume était tout aussi facile à lire avec le twist original du narrateur externe qui interpelle directement le lecteur. Je ne suis pas très sensible à ce type de narration pourtant je suis sure que ça pourra en ravir certains !
January 5, 2019
Imaginez un monde féerique, où se mêleraient magie et enquête policière, avec des personnages truculents en sémillants porte-drapeaux. Voici donc l'univers flamboyant que nous propose cette série. Et c'est franchement génial.
On se croirait aussi dans un grand feuilleton du 19ème avec une touche fantastique pour éblouir davantage le lecteur. J'ai totalement adhéré. Vais prochainement lire la suite.
http://blogclarabel.canalblog.com/arc...
On se croirait aussi dans un grand feuilleton du 19ème avec une touche fantastique pour éblouir davantage le lecteur. J'ai totalement adhéré. Vais prochainement lire la suite.
http://blogclarabel.canalblog.com/arc...
July 14, 2024
2.5⭐️
I was disappointed. I was bored throughout. I found that the plot went nowhere, that it was all talk and no action.
I only liked two characters: Etienne, Griffon's servant, and Azincourt, Griffon's winged cat.
The worldbuilding was still interesting.
But otherwise I was completely detached from the story and not at all interested in it.
I was disappointed. I was bored throughout. I found that the plot went nowhere, that it was all talk and no action.
I only liked two characters: Etienne, Griffon's servant, and Azincourt, Griffon's winged cat.
The worldbuilding was still interesting.
But otherwise I was completely detached from the story and not at all interested in it.
November 22, 2019
Mon avis
J’avais énormément entendu parler de Pierre Pevel et je surveillais attentivement ce roman depuis sa sortie. Quand j’ai appris la sortie poche, je me suis précipitée pour me prendre le premier roman, mais j’ai mis par contre beaucoup plus de temps à me plonger dedans.
On retrouve un roman qui est à la limite des genres que ce soit la fantasy/l’urban fantasy ou encore le steampunk et c’était un plaisir de découvrir l’univers.
Nous découvrons Griffont, un mage qui se retrouve embarqué dans une histoire qui le dépasse complètement. En effet, il enquête sur des objets magiques et il se retrouve confronté à des meurtres et pire encore, à une femme de son passé. Pourtant, il est bien décidé à comprendre ce qu’il se passe, et même s’il se met en danger, il est déterminé à aller jusqu’au bout.
Les chapitres oscillent entre les personnages et on suit avec plaisir chacun d’entre eux en essayant de voir au départ comment les histoires vont se rejoindre. C’était une bonne découverte je dois bien dire et j’avoue que je suis assez curieuse de voir ce que l’auteur nous réserve maintenant pour la suite ! On s’attache facilement à Griffont et à Isabel de Saint-Gil est très intrigante de son côté ! Oh oui, on a envie de découvrir dès le départ la vérité à son sujet !
Un premier tome très sympa !
J’avais énormément entendu parler de Pierre Pevel et je surveillais attentivement ce roman depuis sa sortie. Quand j’ai appris la sortie poche, je me suis précipitée pour me prendre le premier roman, mais j’ai mis par contre beaucoup plus de temps à me plonger dedans.
On retrouve un roman qui est à la limite des genres que ce soit la fantasy/l’urban fantasy ou encore le steampunk et c’était un plaisir de découvrir l’univers.
Nous découvrons Griffont, un mage qui se retrouve embarqué dans une histoire qui le dépasse complètement. En effet, il enquête sur des objets magiques et il se retrouve confronté à des meurtres et pire encore, à une femme de son passé. Pourtant, il est bien décidé à comprendre ce qu’il se passe, et même s’il se met en danger, il est déterminé à aller jusqu’au bout.
Les chapitres oscillent entre les personnages et on suit avec plaisir chacun d’entre eux en essayant de voir au départ comment les histoires vont se rejoindre. C’était une bonne découverte je dois bien dire et j’avoue que je suis assez curieuse de voir ce que l’auteur nous réserve maintenant pour la suite ! On s’attache facilement à Griffont et à Isabel de Saint-Gil est très intrigante de son côté ! Oh oui, on a envie de découvrir dès le départ la vérité à son sujet !
Un premier tome très sympa !
June 6, 2019
Une ambiance féerique, une plume travaillée, des personnages parfaitement croqués ont fait de cette lecture un moment savoureux!
Dans un Paris enchanté enchanteur, il y a des complots qui se trament et des énigmes à résoudre, beaucoup de magie, des secrets aussi, et des personnages qui nous entraînent dans leurs enquêtes tout en dévoilant petit à petit leurs parts de mystères...
Je suis conquise par Isabel, Griffont et Azincourt le chat terrible!
Cette lecture m’a entraînée et dépaysée, je suis ravie que ce soit une trilogie! 💫
Dans un Paris enchanté enchanteur, il y a des complots qui se trament et des énigmes à résoudre, beaucoup de magie, des secrets aussi, et des personnages qui nous entraînent dans leurs enquêtes tout en dévoilant petit à petit leurs parts de mystères...
Je suis conquise par Isabel, Griffont et Azincourt le chat terrible!
Cette lecture m’a entraînée et dépaysée, je suis ravie que ce soit une trilogie! 💫
May 31, 2017
Un vrai bonheur ! Une très excellent surprise.
http://www.nyx-shadow.com/2017/05/le-...
http://www.nyx-shadow.com/2017/05/le-...
September 8, 2020
4/5 stars. I absolutely loved this old-school French sci-fi/fantasy/steampunk book, it felt very enchanting and like home.
The characters were very endearing (Isabel and Louis are everything) and the world-building was interesting. Moreover, the story takes place in a magical Paris, with detailed description of the true city with talking trees or mini street-dragons added, I really liked it.
I will then gladly pursue the rest of the series. ☺️
The characters were very endearing (Isabel and Louis are everything) and the world-building was interesting. Moreover, the story takes place in a magical Paris, with detailed description of the true city with talking trees or mini street-dragons added, I really liked it.
I will then gladly pursue the rest of the series. ☺️
March 19, 2019
Le livre audio est super. La comédienne qui le lit nous plonge ds l ambiance du Paris dès merveilles.
February 20, 2019
Une très belle découverte ! Un univers magnifiquement bien construit dans un Paris du début du XXème siècle rempli de merveilles et de personnages extraordinaires ❤
December 14, 2022
Dans mes souvenirs d'ado de 14 ans, la trame du récit me semblait profondément élaborée. J'avais tort. Ça ne m'empêchera pas de relire les deux suivants..
September 11, 2021
Un univers intéressant, avec une histoire plaisante.
Malheureusement, le style ne m'a pas convaincu. Ce dernier, brisant le quatrième mur m'a fait sortir de ma lecture plus d'une fois.
Cependant, je veux en savoir plus de cette Paris Merveilleuses.
Malheureusement, le style ne m'a pas convaincu. Ce dernier, brisant le quatrième mur m'a fait sortir de ma lecture plus d'une fois.
Cependant, je veux en savoir plus de cette Paris Merveilleuses.
Read
May 13, 2019Ce que j'ai aimé :
- évidemment, l'ambiance magique, les créatures de fantasy et mythologiques. C'est le point clé et fort du roman.
- la référencialité à des livres, auteurs et mythes. Le livre en regorge et c'est quelque chose que j'adore.
- la façon dont le livre est narré. La narration est hétéro-diégétique et très spéciale (comme l'est ce livre), pour plusieurs raisons, mais ce que j'ai préféré sont les quelques adresses au lecteur et les mises en contexte historique au début de chaque chapitre, ce qui m'amène au moins suivant :
- la relation avec l'Histoire. Si le livre se passe dans un univers alternatif au notre, l'Histoire est dans les grande ligne la même et l'auteur n'hésite pas à mettre dans le fond du décor plusieurs 'personnages' qui ont réellement existé, en les réinventant. Ainsi, un auteur que tous connait est aussi secrètement alchimiste ou un autre fait parti d'un cercle de mage. J'adore quand des personnages historiques sont utilisés mais réinventé.
Ce que je n'ai pas aimé :
- L'enquête. C'est la seule chose à laquelle je n'ai vraiment pas adhéré mais malheureusement, c'est ce sur quoi repose le livre. Le roman est une enquête, et moi, les enquêtes, c'est très rarement mon truc. Ca va quand elle est légère, relativement simple et vite résolu (ou quand il y a plusieurs retournements de situation) mais là en l’occurrence, je m'en suis vite lassée. A vrai dire, je m'en suis tellement lassée que j'ai considéré sérieusement et plusieurs fois abandonné le livre (et je ne sais pas vraiment ce qui m'a poussée à le finir). En plus, elle était plutôt complexe - ce qui est un point positif pour les amateurs d'enquête; je suppose - alors que je n'avais pas envie de mettre cette énergie dedans.
- le nombre de personnages. Ce qui est d'habitude un grand point positif pour moi est devenu très vite fatiguant. Comme je l'ai dit juste avant, comme l'histoire ne me plaisait déjà pas énormément, je n'avais pas envie de mettre de l'énergie à me souvenir de tous les noms des personnages, je voulais juste que le livre se finisse.
Au final, je reconnais évidemment que ce livre est un très bon livre. C'est une oeuvre littéraire à découvrir car c'est presque un classique français de ce genre, et il reste original par sa narration. Mais, si comme moi vous n'êtes pas fan des livres dont l'histoire repose entièrement sur une enquête, il n'est peut-être pas fait pour vous. C'était le cas pour moi, et même si j'ai aimé tout le reste, je n'en ressors pas conquise.
(Je ne le note pas car la note que je lui mettrai ne représenterai pas sa qualité.)
- évidemment, l'ambiance magique, les créatures de fantasy et mythologiques. C'est le point clé et fort du roman.
- la référencialité à des livres, auteurs et mythes. Le livre en regorge et c'est quelque chose que j'adore.
- la façon dont le livre est narré. La narration est hétéro-diégétique et très spéciale (comme l'est ce livre), pour plusieurs raisons, mais ce que j'ai préféré sont les quelques adresses au lecteur et les mises en contexte historique au début de chaque chapitre, ce qui m'amène au moins suivant :
- la relation avec l'Histoire. Si le livre se passe dans un univers alternatif au notre, l'Histoire est dans les grande ligne la même et l'auteur n'hésite pas à mettre dans le fond du décor plusieurs 'personnages' qui ont réellement existé, en les réinventant. Ainsi, un auteur que tous connait est aussi secrètement alchimiste ou un autre fait parti d'un cercle de mage. J'adore quand des personnages historiques sont utilisés mais réinventé.
Ce que je n'ai pas aimé :
- L'enquête. C'est la seule chose à laquelle je n'ai vraiment pas adhéré mais malheureusement, c'est ce sur quoi repose le livre. Le roman est une enquête, et moi, les enquêtes, c'est très rarement mon truc. Ca va quand elle est légère, relativement simple et vite résolu (ou quand il y a plusieurs retournements de situation) mais là en l’occurrence, je m'en suis vite lassée. A vrai dire, je m'en suis tellement lassée que j'ai considéré sérieusement et plusieurs fois abandonné le livre (et je ne sais pas vraiment ce qui m'a poussée à le finir). En plus, elle était plutôt complexe - ce qui est un point positif pour les amateurs d'enquête; je suppose - alors que je n'avais pas envie de mettre cette énergie dedans.
- le nombre de personnages. Ce qui est d'habitude un grand point positif pour moi est devenu très vite fatiguant. Comme je l'ai dit juste avant, comme l'histoire ne me plaisait déjà pas énormément, je n'avais pas envie de mettre de l'énergie à me souvenir de tous les noms des personnages, je voulais juste que le livre se finisse.
Au final, je reconnais évidemment que ce livre est un très bon livre. C'est une oeuvre littéraire à découvrir car c'est presque un classique français de ce genre, et il reste original par sa narration. Mais, si comme moi vous n'êtes pas fan des livres dont l'histoire repose entièrement sur une enquête, il n'est peut-être pas fait pour vous. C'était le cas pour moi, et même si j'ai aimé tout le reste, je n'en ressors pas conquise.
(Je ne le note pas car la note que je lui mettrai ne représenterai pas sa qualité.)
August 13, 2020
Un début de série extrêmement prometteur. Le Paris des Merveilles de Pierre Pevel tient ses paroles.
Le mélange, parfaitement maitrisé, entre Paris historique et univers fantastique est sublime. L’adoration de l’auteur pour la capitale française est évidente. Un véritable éloge au Paris de la belle époque et à sa culture. L’univers fantastique est complexe mais n’en reste pas moins extrêmement compréhensible. Il est très facile de s’y projeter.
Les personnages, malgré leurs vices, sont attachant. Certains personnages intriguent et je ne demande qu’à en découvrir davantage. Petit bémol sur le vilain qui manque de dimension. Les Enchantements d'Ambremer n'étant que le première volume de la série, ce n’est pas un problème mais j’espère qu’il gagnera en profondeur et caractère dans les volumes à suivre.
L’enquête, bien qu'un peu simpliste, constitue une bonne entrée en matière. La progression de l’histoire est agréable et l’écriture est ingénieuse.
J’ai hâte de découvrir ce que nous réserve la suite de cette série !
Le mélange, parfaitement maitrisé, entre Paris historique et univers fantastique est sublime. L’adoration de l’auteur pour la capitale française est évidente. Un véritable éloge au Paris de la belle époque et à sa culture. L’univers fantastique est complexe mais n’en reste pas moins extrêmement compréhensible. Il est très facile de s’y projeter.
Les personnages, malgré leurs vices, sont attachant. Certains personnages intriguent et je ne demande qu’à en découvrir davantage. Petit bémol sur le vilain qui manque de dimension. Les Enchantements d'Ambremer n'étant que le première volume de la série, ce n’est pas un problème mais j’espère qu’il gagnera en profondeur et caractère dans les volumes à suivre.
L’enquête, bien qu'un peu simpliste, constitue une bonne entrée en matière. La progression de l’histoire est agréable et l’écriture est ingénieuse.
J’ai hâte de découvrir ce que nous réserve la suite de cette série !
December 31, 2020
Super premier tome ! J’ai adoré me plonger dans ce Paris réaliste (j’ai bien révisé mes cours d’histoire) mais teinté de Fantasy pour créer une univers fantastique génial dans lequel je rêverais de vivre.
La façon dont la magie existe est assez intéressante et s’étaye au fur et à mesure du récit, je suis pas fan de tout ce qui est fée, gnome, licorne etc. habituellement mais là c’est très réussi et c’est déjà très riche pour un premier tome.
Gros coup de coeur pour la Baronne de Saint Gil qui est un personnage EXCEPTIONNEL que l’on découvre de façon assez poussée pour une narration externe ce qui est une vraie réussite.
J’ai néanmoins trouvé la fin trop rapide et trop facile, donc j’ai hâte de lire la suite pour voir comment l’intrigue continue et que l’on me conforte dans l’idée que ce n’était pas aussi simple qu’il n’y parait.
La façon dont la magie existe est assez intéressante et s’étaye au fur et à mesure du récit, je suis pas fan de tout ce qui est fée, gnome, licorne etc. habituellement mais là c’est très réussi et c’est déjà très riche pour un premier tome.
Gros coup de coeur pour la Baronne de Saint Gil qui est un personnage EXCEPTIONNEL que l’on découvre de façon assez poussée pour une narration externe ce qui est une vraie réussite.
J’ai néanmoins trouvé la fin trop rapide et trop facile, donc j’ai hâte de lire la suite pour voir comment l’intrigue continue et que l’on me conforte dans l’idée que ce n’était pas aussi simple qu’il n’y parait.
March 28, 2020
Pas du tout mon genre de prédilection, mais qu'est-ce que j'ai adoré !
L'écriture de Pierre Pevel est hyper agréable, ça m'a un peu rappelé le Dumas de Monte Cristo. L'histoire est bien ficelée, on avance vite, c'est plaisant. Les personnages sont tous très chouettes (amour infini pour Griffont et Isabel).
Seul regret ?
Je n'ai à ma disposition que le tome 1...
Comment faire ? J'ai TELLEMENT hâte de lire la suite !
(avis ô combien détaillé et érudit, n'est-ce pas ?)
L'écriture de Pierre Pevel est hyper agréable, ça m'a un peu rappelé le Dumas de Monte Cristo. L'histoire est bien ficelée, on avance vite, c'est plaisant. Les personnages sont tous très chouettes (amour infini pour Griffont et Isabel).
Seul regret ?
Je n'ai à ma disposition que le tome 1...
Comment faire ? J'ai TELLEMENT hâte de lire la suite !
(avis ô combien détaillé et érudit, n'est-ce pas ?)
December 18, 2021
Une superbe lecture qui fait marcher l’imagination. J’ai adoré me plonger dans ce Paris fantastique du début du XXème, avec ses personnages rutilants et hauts en couleur. L’écriture de Pierre Pevel est vraiment agréable, avec une grande variété de lexique, beaucoup de sarcasme et des descriptions très élégantes. Rêves et réalités se mélangent dans ce premier tome d’une saga que j’ai hâte de continuer.
September 15, 2018
Après avoir été intrigué par la mention de ce livre sur un site Internet recensant ses incontournables de la littérature fantastique, j'ai attaqué la lecture sans trop savoir à quoi m'attendre, et j'ai adoré la balade. Je recommande vivement à mon tour !
April 2, 2021
Une lecture agréable avec un univers qui fait rêver.
Des personnages attendrissants et drôles que j’ai hâte de retrouver dans les prochains tomes.
Des personnages attendrissants et drôles que j’ai hâte de retrouver dans les prochains tomes.
May 5, 2023
Dans un Paris enchanté du début du XXème siècle, le mage Louis Griffont est engagé afin de démasquer une potentielle utilisation frauduleuse de la magie dans une maison de jeu. Durant ce temps, la mystérieuse Isabel de Saint-Gil, tente d'échapper aux services secrets russes. Et si leurs routes devaient inévitablement se croiser...à nouveau?
Deuxième découverte de Pierre Pevel, qui confirme l'estime que j'ai pour cet auteur. J'avais aimé l'ambiance sombre des Lames du Cardinal, je ne peux donc qu'admirer avec quel brio il sait s'adapter à son univers, nous présentant ici un Paris altéré. L'OutreMonde, superposé à nbotre dimension, est apparu et c'est donc un Paris de la Belle Epoque dans lequel il n'est pas rare de croiser un Saule Rieur ou un chat-ailé qui nous est présenté. La narration se veut donc un peu moins froide, le narrateur n'hésitant pas à effectuer quelques digressions (comme vous rappeler que tel personnage a été introduit lors d'un certain chapitre et qu'il n'est pas nécessaire d'aller vérifier) qui font sourire (d'autant que bien sûr, je suis allé vérifier !). Je dois avouer que j'ai adoré ce Paris enchanté, autant pour son ambiance Belle Epoque, une période trop sous-estimée selon moi, avec ses débuts de l'électricité, ses expositions universelles, ses premières voitures... que pour son côté OutreMonde avec le royaume d'Ambremer. J'ai particulièrement apprécié que ce dernier ne soit pas trop présent, ne venant pas parasiter l'œuvre en accaparant la localisation de l'intrigue.
L'intrigue, justement, n'est certes pas aussi sérieuse et sombre que pour Les Lames du Cardinal. Elle n'en reste pas moins très agréable à suivre (cela la rend peut-être même un peu plus digeste par moments) et n'empêche pas une certaine gravité avec des assassinats. Nous y suivons une double trame qui finit par se réunir pour n'en faire qu'une. Si le protagoniste principal, Louis Griffont, est très sympathique, même si j'ai eu un peu de mal à assimiler ses centaines d'années d'existence. Isabel de Saint-Gil est quant à elle mon véritable coup de cœur, une femme forte, cambrioleuse, aventurière, intrigante... C'est d'ailleurs à cette dernière que revient l'honneur du prologue du roman avec une scène que l'on verrait parfaitement comme ouverture d'un James Bond. Une fois réuni, le duo nous offre des scènes assez sympathiques. Autour de ce couple gravitent plusieurs autres personnages beaucoup plus anecdotiques mais qui reste de qualité, comme le gnome Lucien Labricole. Seule l'antagoniste principal m'a paru trop en retrait, son bras droit étant peut-être plus intéressant selon moi. Enfin, je ne peux évoquer les personnages sans mentionner la présence de guest stars le temps d'un chapitre, référence qui ne parlera pas forcément à tout le monde, mais qui s'inscrit merveilleusement bien dans l'époque !
Notons pour finir la présence dans ce tome de la nouvelle Magicis in mobile, court récit d'une trentaine de pages mettant par exemple en scène George Méliès au côté de notre duo. Si elle est sympathique, cette nouvelle n'atteint pas l'excellence du roman, d'autant que la lire aussitôt après celui-ci amène une sensation étrange à nous voir réintroduits les personnages ou les lieux déjà vus. Cela reste tout de même un bonus que l'on accepte avec plaisir !
Un deuxième essai réussi donc concernant Pierre Pevel avec ce Paris des Merveilles, un auteur auquel je vais m'intéresser de plus près!
Deuxième découverte de Pierre Pevel, qui confirme l'estime que j'ai pour cet auteur. J'avais aimé l'ambiance sombre des Lames du Cardinal, je ne peux donc qu'admirer avec quel brio il sait s'adapter à son univers, nous présentant ici un Paris altéré. L'OutreMonde, superposé à nbotre dimension, est apparu et c'est donc un Paris de la Belle Epoque dans lequel il n'est pas rare de croiser un Saule Rieur ou un chat-ailé qui nous est présenté. La narration se veut donc un peu moins froide, le narrateur n'hésitant pas à effectuer quelques digressions (comme vous rappeler que tel personnage a été introduit lors d'un certain chapitre et qu'il n'est pas nécessaire d'aller vérifier) qui font sourire (d'autant que bien sûr, je suis allé vérifier !). Je dois avouer que j'ai adoré ce Paris enchanté, autant pour son ambiance Belle Epoque, une période trop sous-estimée selon moi, avec ses débuts de l'électricité, ses expositions universelles, ses premières voitures... que pour son côté OutreMonde avec le royaume d'Ambremer. J'ai particulièrement apprécié que ce dernier ne soit pas trop présent, ne venant pas parasiter l'œuvre en accaparant la localisation de l'intrigue.
L'intrigue, justement, n'est certes pas aussi sérieuse et sombre que pour Les Lames du Cardinal. Elle n'en reste pas moins très agréable à suivre (cela la rend peut-être même un peu plus digeste par moments) et n'empêche pas une certaine gravité avec des assassinats. Nous y suivons une double trame qui finit par se réunir pour n'en faire qu'une. Si le protagoniste principal, Louis Griffont, est très sympathique, même si j'ai eu un peu de mal à assimiler ses centaines d'années d'existence. Isabel de Saint-Gil est quant à elle mon véritable coup de cœur, une femme forte, cambrioleuse, aventurière, intrigante... C'est d'ailleurs à cette dernière que revient l'honneur du prologue du roman avec une scène que l'on verrait parfaitement comme ouverture d'un James Bond. Une fois réuni, le duo nous offre des scènes assez sympathiques. Autour de ce couple gravitent plusieurs autres personnages beaucoup plus anecdotiques mais qui reste de qualité, comme le gnome Lucien Labricole. Seule l'antagoniste principal m'a paru trop en retrait, son bras droit étant peut-être plus intéressant selon moi. Enfin, je ne peux évoquer les personnages sans mentionner la présence de guest stars le temps d'un chapitre, référence qui ne parlera pas forcément à tout le monde, mais qui s'inscrit merveilleusement bien dans l'époque !
Notons pour finir la présence dans ce tome de la nouvelle Magicis in mobile, court récit d'une trentaine de pages mettant par exemple en scène George Méliès au côté de notre duo. Si elle est sympathique, cette nouvelle n'atteint pas l'excellence du roman, d'autant que la lire aussitôt après celui-ci amène une sensation étrange à nous voir réintroduits les personnages ou les lieux déjà vus. Cela reste tout de même un bonus que l'on accepte avec plaisir !
Un deuxième essai réussi donc concernant Pierre Pevel avec ce Paris des Merveilles, un auteur auquel je vais m'intéresser de plus près!
January 8, 2016
Je démarre l'année sur un coup de cœur.
Au tout début, j'ai flashé sur la couverture. Et puis ensuite, j'ai découvert l'histoire.
On entre donc dans un univers réaliste, puisque nous sommes à Paris, mais complètement chamboulé, puisque le monde des fées est entré en relation avec notre monde, et Paris est désormais une ville peuplée de fées, de chats ailés, de gnomes, de mages, d'enchanteresse, d'arbres qui parlent, etc.
J'adore ce mélange de fantasy réalité. Surtout quand l'auteur explique à quel moment de notre histoire tout a basculé. Je trouve que cela donne plus de crédibilité à l'ensemble. On sait que tout était normal, et puis à tel période, l'histoire que nous connaissons a changé.
Ensuite, j'ai également beaucoup aimé les personnages. Le duo Isabel de Saint Gil / Griffont est un plaisir à suivre. De la répartie, de la mauvaise foi, des disputes, des réconciliations, des cachotteries, tout, nous avons droit à tout avec eux !
Les autres personnages, bien sûr, ne sont pas en reste. Tous amènent leur petite pierre à l'édifice, et participe à un moment ou à un autre, volontairement ou non, au côté amusant du livre.
Et puis pour finir l'histoire. Là aussi, un plaisir à suivre. On découvre d'abord l'univers et les personnages, puis l'intrigue et les mystères à résoudre et à relier les uns après les autres. Au fil des pages, on a vraiment envie de percer le secret de la Reine Noire. Que cherche-t-elle ?
Seul petit bémol à l'histoire:
Le sauvetage miraculeux par l'arrivée du fantôme de la mère des licornes. Je savais qu'ils s'en sortiraient d'une manière ou d'une autre, mais là j'ai trouvé cela un petit peu facile.Enfin, ce n'est qu'un grain de sable dans l'histoire, rien qui ne puisse gâcher ma lecture.
Vraiment contente d'avoir découvert ce livre !
Au tout début, j'ai flashé sur la couverture. Et puis ensuite, j'ai découvert l'histoire.
On entre donc dans un univers réaliste, puisque nous sommes à Paris, mais complètement chamboulé, puisque le monde des fées est entré en relation avec notre monde, et Paris est désormais une ville peuplée de fées, de chats ailés, de gnomes, de mages, d'enchanteresse, d'arbres qui parlent, etc.
J'adore ce mélange de fantasy réalité. Surtout quand l'auteur explique à quel moment de notre histoire tout a basculé. Je trouve que cela donne plus de crédibilité à l'ensemble. On sait que tout était normal, et puis à tel période, l'histoire que nous connaissons a changé.
Ensuite, j'ai également beaucoup aimé les personnages. Le duo Isabel de Saint Gil / Griffont est un plaisir à suivre. De la répartie, de la mauvaise foi, des disputes, des réconciliations, des cachotteries, tout, nous avons droit à tout avec eux !
Les autres personnages, bien sûr, ne sont pas en reste. Tous amènent leur petite pierre à l'édifice, et participe à un moment ou à un autre, volontairement ou non, au côté amusant du livre.
Et puis pour finir l'histoire. Là aussi, un plaisir à suivre. On découvre d'abord l'univers et les personnages, puis l'intrigue et les mystères à résoudre et à relier les uns après les autres. Au fil des pages, on a vraiment envie de percer le secret de la Reine Noire. Que cherche-t-elle ?
Seul petit bémol à l'histoire:
Le sauvetage miraculeux par l'arrivée du fantôme de la mère des licornes. Je savais qu'ils s'en sortiraient d'une manière ou d'une autre, mais là j'ai trouvé cela un petit peu facile.Enfin, ce n'est qu'un grain de sable dans l'histoire, rien qui ne puisse gâcher ma lecture.
Vraiment contente d'avoir découvert ce livre !
This entire review has been hidden because of spoilers.
August 19, 2021
I’m at a loss with this one. We are given:
Long-winded, awkwardly introduced expository dialogue (is the cat character here for anything aside from narrating the uninspired history of faerie land?)
An infinitely talented yet bland main character who still manages to attract the attentions of a cast of beautiful, narrow-waisted (the author really wants you to know this) ladies who, despite their feminist leanings, don’t achieve much aside from causing trouble to themselves and everyone else so that the hero can save the day
Absolutely unexplainable worldbuilding choices (so… the faerie world decided to only interact with Europe and Paris and not the rest of the world because of… what? aside from colonial fantasy trends?)
I went in thinking the premise was certain to win me over, and left dumbfounded as to what I had just read.
Long-winded, awkwardly introduced expository dialogue (is the cat character here for anything aside from narrating the uninspired history of faerie land?)
An infinitely talented yet bland main character who still manages to attract the attentions of a cast of beautiful, narrow-waisted (the author really wants you to know this) ladies who, despite their feminist leanings, don’t achieve much aside from causing trouble to themselves and everyone else so that the hero can save the day
Absolutely unexplainable worldbuilding choices (so… the faerie world decided to only interact with Europe and Paris and not the rest of the world because of… what? aside from colonial fantasy trends?)
I went in thinking the premise was certain to win me over, and left dumbfounded as to what I had just read.
July 29, 2011
Un roman plein de fantasmagories, dans un Paris du début 20e qui est bâti en plein sur la porte menant au royaumes des fées et des dragons !
Imprégné de magie, cet univers qu'on devine foisonnant, ne nous est cependant révélé que par bribes ce qui laisse un peu sur sa faim. L'histoire est néanmoins haletante et fertile en rebondissements ce qui, au final, en fait un court roman bien agréable.
Imprégné de magie, cet univers qu'on devine foisonnant, ne nous est cependant révélé que par bribes ce qui laisse un peu sur sa faim. L'histoire est néanmoins haletante et fertile en rebondissements ce qui, au final, en fait un court roman bien agréable.
December 11, 2021
J'ai trouvé ça d'un ennui.. Je ne me suis pas attachée aux personnages, l'écriture est superficielle et sexiste, ça passe du coq à l'âne et l'auteur place trop de passages encyclopédiques inutiles à l'histoire.
January 23, 2024
4,5⭐️
•
10000 ans après tout le monde je lis enfin cette saga 🥳 Et BAH zéro regret, je n’ai pas été déçue du voyage 🧭
•
On se retrouve dans le Paris (ô SURPRISE vu le titre 🤝🏻) de la Belle-Epoque où les créatures magiques (comme les fées, les gnomes, LES DRAGONS 🐉) sont monnaie courante + Griffont un mage bébé à l’ouest qui se retrouve embarqué dans une histoire qui le dépasse complètement + la baronne Isabel de Saint Gil (ma go suuuuure Ça 👌🏻) magicienne et cambrioleuse à ses heures perdues + une enquête (ma vie)🕵🏼♀️
•
On alterne l’histoire selon différents persos, tout en attendant le moment où leur histoire va se rejoindre 👀
•
J’ai bcp aimé ce schéma de narration et l’intrigue en soi, après on va pas se le mentir la résolution était clairement facile 🤣 En un chap c’était plié l’histoire donc BON voilà quoi
•
Mais Très Clairement hâte de lire la suite 🔥
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10000 ans après tout le monde je lis enfin cette saga 🥳 Et BAH zéro regret, je n’ai pas été déçue du voyage 🧭
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On se retrouve dans le Paris (ô SURPRISE vu le titre 🤝🏻) de la Belle-Epoque où les créatures magiques (comme les fées, les gnomes, LES DRAGONS 🐉) sont monnaie courante + Griffont un mage bébé à l’ouest qui se retrouve embarqué dans une histoire qui le dépasse complètement + la baronne Isabel de Saint Gil (ma go suuuuure Ça 👌🏻) magicienne et cambrioleuse à ses heures perdues + une enquête (ma vie)🕵🏼♀️
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On alterne l’histoire selon différents persos, tout en attendant le moment où leur histoire va se rejoindre 👀
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J’ai bcp aimé ce schéma de narration et l’intrigue en soi, après on va pas se le mentir la résolution était clairement facile 🤣 En un chap c’était plié l’histoire donc BON voilà quoi
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Mais Très Clairement hâte de lire la suite 🔥
January 10, 2024
Posztmodern, régimódi, kalandos és francia
Ősszel jön magyarul, úgyhogy az is olvassa a bejegyzést, aki franciául nem tud.
Aranyos, mókás fantasy, ügyesen összerakott háttérvilággal, nagyon kalandos és nagyon francia. Akinek bejönnek a klasszikus és/vagy régimódi kalandregények, mindenképp tegyen vele egy próbát, mert Pevel kb. úgy viszonyul a kulturális hagyományhoz, mint Dan Simmons. Csak egész mást hoz ki belőle. Itt nincs horror, sci-fi szál vagy rémisztő utazások. Metró van, rejtélyes tárgyak, életre kelő vízköpők, nyomozók, titkos ügynökök, nyitott kapcsolatban élő szerelmesek, kelta emlékek és rengeteg Párizs.
Értékelés a blogon:
https://gyujtogeto-alkoto.blog.hu/202...
Ősszel jön magyarul, úgyhogy az is olvassa a bejegyzést, aki franciául nem tud.
Aranyos, mókás fantasy, ügyesen összerakott háttérvilággal, nagyon kalandos és nagyon francia. Akinek bejönnek a klasszikus és/vagy régimódi kalandregények, mindenképp tegyen vele egy próbát, mert Pevel kb. úgy viszonyul a kulturális hagyományhoz, mint Dan Simmons. Csak egész mást hoz ki belőle. Itt nincs horror, sci-fi szál vagy rémisztő utazások. Metró van, rejtélyes tárgyak, életre kelő vízköpők, nyomozók, titkos ügynökök, nyitott kapcsolatban élő szerelmesek, kelta emlékek és rengeteg Párizs.
Értékelés a blogon:
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February 21, 2022
Un Paris de la Belle Époque mais féérique, où la Tour Eiffel a été construite en bois blanc, où l’on croise des fées, des gnomes, des ondines dans les fontaines, des magiciens ayant pignon sur rue. C’est le cadre que nous propose Pierre Pevel dont le premier tome de sa trilogie du Paris des Merveilles.
L’intrigue est classique mais bien menée, les personnages sont plaisants à suivre. Il y a quelques trouvailles sympathiques, en particulier ces chats-ailés qui absorbent le contenu des livres sur lesquels ils dorment.
J’ai bien aimé ce roman, peut-être pas parfait mais vraiment plaisant à lire. Une intrigue prenante à défaut d’être originale, une ambiance envoûtante, que demander de plus ?
L’intrigue est classique mais bien menée, les personnages sont plaisants à suivre. Il y a quelques trouvailles sympathiques, en particulier ces chats-ailés qui absorbent le contenu des livres sur lesquels ils dorment.
J’ai bien aimé ce roman, peut-être pas parfait mais vraiment plaisant à lire. Une intrigue prenante à défaut d’être originale, une ambiance envoûtante, que demander de plus ?
January 26, 2023
Well I just finished this book. It was a good story of mystical events where there are fairies and dragons ... I enjoyed the story but there is a lot of description and sometimes I was wondering we are reading which Perspective. Is it isabel or Griffont or the author.
In some parts, I didn't like the fact that the author gave us some hints to what will happen next because it looses all the mystery and the suspense in it.
I anticipated some part of it.
The ending was not what I was expecting from the author, it was just a casual ending not much of actions happened there was no suspense and not much of the plot. I wasn't at the edge of my sit reading the end.
In some parts, I didn't like the fact that the author gave us some hints to what will happen next because it looses all the mystery and the suspense in it.
I anticipated some part of it.
The ending was not what I was expecting from the author, it was just a casual ending not much of actions happened there was no suspense and not much of the plot. I wasn't at the edge of my sit reading the end.
December 24, 2017
Une très bonne surprise !
Une jolie plume avec une écriture fluide et pleine d'humour, des personnages bien écrits et très attachants, un univers dense et travaillé, aux inspirations steampunk.
Le dénouement est un rien manichéen par contre, et un peu cliché. L'histoire est quant à elle très prenante : je n'ai pas eu l'impression de suivre une enquête pour le coup, mais plus un roman d'aventures avec quelques rebondissements.
À lire si : vous aimez quand l'ordinaire côtoie le surnaturel le plus naturellement du monde et si vous dévorez les romans feuilletons de type Gaston Leroux.
Une jolie plume avec une écriture fluide et pleine d'humour, des personnages bien écrits et très attachants, un univers dense et travaillé, aux inspirations steampunk.
Le dénouement est un rien manichéen par contre, et un peu cliché. L'histoire est quant à elle très prenante : je n'ai pas eu l'impression de suivre une enquête pour le coup, mais plus un roman d'aventures avec quelques rebondissements.
À lire si : vous aimez quand l'ordinaire côtoie le surnaturel le plus naturellement du monde et si vous dévorez les romans feuilletons de type Gaston Leroux.
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