![Laurence Ricq : pour son orientation post-bac, « oser, questionner, se projeter, se préparer »](https://cdn.statically.io/img/cdn-s-www.estrepublicain.fr/images/5EDF9257-CC43-4DBE-831E-B272A28467A3/NW_listC/laurence-ricq-pour-son-orientation-post-bac-oser-questionner-se-projeter-se-preparer-1704816874.jpg)
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Les jeunes Francs-comtois sont de plus en plus nombreux à souhaiter réaliser tout ou partie de leur cursus d’enseignement supérieur à l’étranger. Un appétit qu’ils ont d’ailleurs en commun avec la plupart des autres lycéens français. Si le phénomène n’est pas nouveau, il va en s’amplifiant ; le marqueur à la fois d’une quête d’excellence – ce sont les Grandes Écoles qui, les premières, ont montré la voie – mais aussi, et peut-être surtout, d’enrichissements.
Ouverture, développement personnel, culturel et linguistique, découverte d’un environnement radicalement différent et expérience de la « débrouille » qu’elle impose : tels sont, parmi d’autres, les principaux apports d’un parcours d’études à l’international. Autant d’occasions d’acquérir des connaissances bien entendu, mais encore de développer largement savoir être et savoir-faire non-académiques, ces fameux « softs skills » si prisés des employeurs. De démontrer enfin, les facultés d’adaptation devenues indispensables dans la quasi-totalité des domaines professionnels.
Bref, un « plus » en passe de devenir un « must », comme cela est déjà le cas dans bien des filières, souvent parmi les plus cotées. Reste à en travailler l’accessibilité, car si de nombreux programmes encadrent la mobilité étudiante et permettent d’obtenir des aides qui la favorisent, le « reste à charge » contrarie encore certains projets. Ce qui ne doit pas être une raison suffisante pour céder à l’autocensure : le jeu en vaut vraiment la chandelle.
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