Parlons d’accessibilité

Bannière présentant DPA Stephanie Cadieux, avec texte : Parlons d'accessibilité : Qu'est ce que c'est et pourquoi c'est important

L'accessibilité n'a pas la même signification pour tout le monde. En fin de compte, l'accessibilité consiste à supprimer les obstacles qui empêchent tout le monde d'être inclus. Les personnes en situation de handicap étant confrontées à des obstacles différents, il peut être difficile de savoir par où commencer. Mais comme l'a souvent dit la DPA, Stephanie Cadieux : "Commencez, c'est tout. N'attendez pas. Si nous ne commençons pas, la culture ne changera jamais.

Lorsqu'il s'agit de changer de culture, les conversations et les histoires sont puissantes.  C'est pourquoi, dans le but d'encourager tout le monde à commencer et à continuer, notre bureau est ravi de présenter « Parlons d’accessibilité », une série d'histoires et de conversations sur ce que l'accessibilité signifie vraiment. Dans cette série, nous rencontrerons des personnes ayant une expérience vécue et nous apprendrons des organisations qui font le travail.

Vaincre les barrières

Jason Mitschele, avocat-conseil de la Couronne au Service des poursuites pénales du Canada,  explique ce que la suppression des barrières a signifié pour lui et comment son employeur l'a aidé à réussir.

Parlons d’accessibilité : vaincre les barrières

Transcription de Parlons d’accessibilité : vaincre les barrières

[00:00:00] Ouverture de la vidéo et présentation du logo animé du BDPA. Texte à l’écran : Bureau de la dirigeante principale de l’accessibilité. Parlons d’accessibilité. Une musique pensive est diffusée au cours de la vidéo.

[00:00:08] Écran partagé : Stephanie Cadieux et un interprète LSQ apparaissent. Texte à l’écran : Stephanie Cadieux; Dirigeante principale de l’accessibilité du Canada.

Stephanie Cadieux : Je discute avec diverses personnes au Canada de la signification réelle de l’accessibilité et de son importance. En tant que société, nous ne pouvons plus nous permettre de nous accommoder de l’inaccessibilité. Beaucoup trop de potentiel est perdu et il est temps d’agir.

[00:00:23] Jason Mitschele regarde son téléphone portable assis dans la salle à manger d’un bureau. Un chien d’assistance est allongé par terre à côté de lui. Texte à l’écran : Vaincre les barrières.

[00:00:32] Logo animé apparaît brièvement, suivi par un écran partagé avec interprète LSQ à la droite : une série d’images montre Jason Mitschele marchant dehors avec son chien d’assistance.

Jason Mitschele : On ne m’a pas encouragé à faire ce que je voulais. Plus jeune, à l’école secondaire, lorsque j’ai fait part à mes professeurs de mon désir de faire des études de droit, ils ont voulu m’en dissuader. Ils considéraient que la charge de lecture serait trop grande pour moi et que cette ambition n’était pas à ma portée. Ils m’ont presque convaincu.

[00:00:49] Jason Mitschele et son chien d’assistance apparaissent en plein écran. Ils se promènent dehors dans la pluie.

[00:00:55] Écran partagé : Jason Mitschele et l’interprète ASL apparaissent. Texte à l’écran : Jason Mitschele, Chef d’équipe et avocat principal, Équipe du contentieux de la Cour supérieure, Service des poursuites pénales de Canada.]

Jason Mitschele : Je m’appelle Jason Mitschele et je suis procureur principal de la Couronne fédérale au Service des poursuites pénales du Canada ici à Toronto.

[00:01:06] Écran partagé avec interprète LSQ à la droite  : Jason Mitschele et son chien d’assistance entrent dans un bâtiment administratif.

Jason Mitschele : Lorsque j’étais à l’université, j’ai eu un déclic au début de ma quatrième année.

Je me suis dit que rien ne m’empêchait de devenir avocat.

[00:01:17] Écran partagé : Jason Mitschele ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Que ces gens ne devaient pas être mis sur un piédestal. Qu’il s’agissait tout simplement de personnes qui avaient fait des études de droit.

[00:01:25] Écran partagé avec interprète LSQ à la droite: Jason Mitschele installe son chien d’assistance dans son lit au bureau.

Jason Mitschele : Dans le cadre de mon travail, on reçoit les documents au fur et à mesure. On n’a pas le temps de les numériser ni de les convertir dans un format accessible. Il faut pouvoir les consulter tels quels, directement au tribunal.

[00:01:43] Écran partagé avec interprète LSQ à la droite : Jason Mitschele et Stephanie Cadieux en conversation.

Jason Mitschele : En tant que procureurs, nous avons souvent affaire à des dossiers volumineux qui contiennent des notes manuscrites d’officiers.

[00:01:51] Écran partagé : Jason Mitschele avec interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Un simple numériseur ne suffirait pas.

[00:01:56] Écran partagé avec interprète LSQ à la droite : Jason Mitschele marche dans un couloir accompagné par son chien d’assistance. Suivi par son parajuriste, ils s’installent dans le bureau de Jason.

Jason Mitschele : Ma patronne s’est engagée à m’aider. Elle a défendu ma cause en soutenant qu’il ne me fallait pas juste un assistant, mais un parajuriste. Quelqu’un qui connaît le droit et qui peut vraiment m’assister.

[00:02:15] Écran partagé : Jason Mitschele et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Bien entendu, j’ai accès à la technologie, à un ordinateur, à un programme de synthèse vocale et tout le reste.

[00:02:19] Écran partagé : Jason Mitschele ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Mais le fait d’avoir une personne qui travaille uniquement avec moi m’est d’un secours inestimable. Et je pense que c’est vraiment la clé de ma réussite.

[00:02:27] Écran partagé : Jason Mitschele et son parajuriste assis dans le bureau de Jason ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Mon handicap est évident et visible.

[00:02:33] Écran partagé : Jason Mitschele et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : D’une certaine manière, c’est plus facile. Même si je pense qu’à certains égards, je me suis parfois senti exclu.

[00:02:41] Écran partagé : Jason Mitschele assis dans son bureau. Il met des écouteurs et commence à travailler avec son clavier braille ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Une tâche qui nécessite deux heures de travail pour un autre avocat m’en prendra cinq ou six. C’est une réalité. Mais c’est difficile. C’est difficile pour d’autres aspects de la vie.

Il faut travailler beaucoup plus, et plus intelligemment.

[00:02:57] Écran partagé: le chien d’assistance de Jason Mitschele dort dans son lit ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Je dois tout planifier à la perfection.

[00:02:58] Écran partagé : Jason Mitschele et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : Comment vais-je y arriver? Comment vais-je partir? Comment vais-je revenir? Comment vais-je réussir à faire ce travail? Ai-je besoin d’aide pour cela?

[00:03:07] Écran partagé : Jason Mitschele ; interprète LSQ à la droite.

Jason Mitschele : J’essaie toujours de sortir des sentiers battus et de trouver des moyens de faire les choses.

[00:03:12] Écran partagé avec interprète LSQ à la droite : Jason Mitschele se prépare avant de quitter son bureau ; il remet le harnais sur son chien d’assistance ; il marche dans un couloir et entre dans un ascenseur.

Jason Mitschele : Ma première patronne savait que j’allais éprouver des difficultés à moins d’avoir plus de mesures d’adaptation. C’est une personne qui a vraiment changé ma vie. Elle a cru en moi, s’est battue pour moi, a pris des risques, et a mis en place les mesures nécessaires. C’est une belle carrière qui occupe toute une vie. Elle m’a vraiment permis de grandir et d’être ce que je désirais devenir.

[00:03:35] Jason Mitschele traverse le foyer et marche dehors.

[00:03:42] Vidéo termine avec le logo animé du Bureau de la dirigeante principale en accessibilité.. 

Livrer des solutions

Natasha Saltes, directrice de l'accessibilité à Postes Canada, parle de certaines des initiatives prises pour assurer un service accessible à tous les clients.

Parlons d’accessibilité : livrer des solutions

Transcription de Parlons d’accessibilité: livrer des solutions

[00:00:00] Ouverture de la vidéo et présentation du logo animé du Bureau de la Dirigeante principale en accessibilité (BDPA). Texte à l’écran : Bureau de la dirigeante principale de l’accessibilité. Parlons d’accessibilité. Une musique pensive est diffusée au cours de la vidéo.

[00:00:08] Écran partagé : Stephanie Cadieux et un interprète LSQ apparaissent. Texte à l’écran : Stephanie Cadieux; Dirigeante principale de l’accessibilité du Canada.]

Stephanie Cadieux : Je discute avec diverses personnes au Canada de la signification réelle de l’accessibilité et de son importance. En tant que société, nous ne pouvons plus nous permettre de nous accommoder de l’inaccessibilité. Beaucoup trop de potentiel est perdu et il est temps d’agir.

[00:00:23] Vue extérieure d’une personne entrant dans un bâtiment Postes Canada. Texte à l’écran : Livrer des solutions.

[00:00:32] Le logo animé apparaît brièvement, suivi par un écran partagé : une personne marchant avec son chien d'assistance pour récupérer son courrier ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes :  Je pense qu’à l’ère du numérique, nous oublions parfois l’importance concrète du courrier. Un grand nombre de lettres et de colis ont une valeur sentimentale et établissent un lien entre des personnes éloignées l’une de l’autre.

[00:00:53] Écran partagé : Natasha Saltes et interprète LSQ. Stephanie Cadieux rejoint Natasha en conversation. Texte à l’écran : Natasha Saltes, Directrice, Accessibilité, Postes Canada.

Natasha Saltes : L’accessibilité consiste en fait à supprimer les obstacles, à les prévenir et à veiller à ce que tout le monde soit inclus et ait un sentiment d’appartenance.

[00:01:09] Écran partagé : un ordinateur portable ouvert ; une personne défilant un document sur le Programme de mesures d’adaptation pour livraison ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : Le Programme de mesures d’adaptation pour livraison a été mis en place pour aider les clients résidentiels en situation de handicap, de limitations fonctionnelles

[00:01:18] Écran partagé : Natasha Saltes et Stephanie Cadieux regarde l’ordinateur portable ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : ou de problèmes de santé à accéder à leur courrier.

[00:01:25] Écran partagé : Natasha Saltes ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : Plusieurs clients du Programme de mesures d’adaptation pour livraison déclarent vivre avec de handicaps multiples

[00:01:32] Écran partagé : Natasha Saltes et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : et la majorité d’entre eux indiquent avoir des difficultés de mobilité et d’agilité.

[00:01:37] Écran partagé : une série d’images montre : le chien d’assistance d’une personne lui ouvrant une porte automatique d’accessibilité et lui accompagnant dans un bureau de poste ; une personne malvoyante récupérant son courrier ; une personne en fauteuil roulant récupérant son courrier ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : Un accès au courrier leur permet de rester en contact avec leur famille, leurs amis et leur collectivité. Le programme permet également de s’assurer que les articles importants tels que les médicaments, les fournitures médicales et les produits ménagers essentiels sont livrés en toute sécurité.

[00:01:52] Écran partagé : une série d’images montre: une personne en fauteuil roulant écrivant à un bureau extractible dans un bureau de poste ; donnant à un postier un colis à faire livrer ; une personne en fauteuil roulant récupérant un colis d’une boîte postale communautaire placée à niveau bas ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : Ainsi, le fait d’avoir un sentiment d’indépendance tout en conservant un lien fort avec les autres contribue à la qualité de la vie.

[00:01:58] Écran partagé : une série d’images montre: une personne malvoyante récupérant son courrier d’un plateau coulissant d’une boîte postale communautaire ; une personne utilise un tourne-clé pour ouvrir sa boîte postale communautaire ; des flèches ; des flèches indiquent les compartiments situés plus haut et plus bas; une personne en fauteuil roulant récupérant un colis d’une grande boîte postale communautaire placée à niveau bas ; une clé avec une inscription en braille ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : Nous disposons de plateaux coulissants et de tourne-clés qui facilitent l’ouverture du compartiment à courrier. Nous pouvons ajuster la hauteur de celui-ci, vers le haut ou vers le bas, en fonction des besoins de la personne. Nous pouvons également offrir d’ajouter une inscription en braille sur le compartiment pour en faciliter l’identification.

[00:02:22] Écran partagé : une série d’images montre : un postier livrant à domicile du courrier à une personne en fauteuil roulant ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : Et pour les clients qui ne sont pas en mesure d’accéder au mode de livraison qui leur a été attribué, nous proposons la livraison quotidienne de colis à domicile et la livraison hebdomadaire du courrier.

[00:02:36] Écran partagé : Natasha montre à une personne une boîte postale accessible dans un bureau de poste ; interprète LSQ à la droite.

Natasha Saltes : ll existe des modèles d’accessibilité dont nous pouvons nous inspirer. Et je considère que ce programme est un exemple qui peut aider d’autres organisations.

[00:02:48] Écran partagé : Natasha montre à une personne un document sur un ordinateur portable ; interprète LSQ à la droite. Le document lit « Achat de biens, de services et d’établissements , et montre une personne récupérant son courrier d’une boîte postale accessible.

Natasha Saltes : Je décris toujours notre engagement en faveur de l’accessibilité comme un long parcours. Nous avons beaucoup progressé dans l’élimination des obstacles.

[00:02:57] Écran partagé : Natasha Saltes ; interprète LSQ à la droite . Stephanie Cadieux rejoint Natasha en conversation.

Natasha Saltes : Il s’agit d’un processus continu pour nous.

[00:03:00] Natasha Saltes apparaît en plein écran. Le logo Postes Canada s’affiche en arrière-plan.

[00:03:05] Video termine avec le logo animé du BDPA.

Produire des résultats

Raphael Solomon, Économiste Expert auprès de la Commission du droit d'auteur du Canada, explique comment quelques aménagements apparemment modestes lui ont permis d'exploiter ses points forts et de donner le meilleur de lui-même à l'équipe, ce qui a profité à tout le monde.

Parlons d’accessibilité : produire des résultats

Transcription de Parlons d’accessibilité : produire des résultats

[00:00:00] Ouverture de la vidéo et présentation du logo animé du Bureau de la Dirigeante principale en accessibilité (BDPA). Texte à l’écran : Bureau de la dirigeante principale de l’accessibilité. Parlons d’accessibilité. Une musique pensive est diffusée au cours de la vidéo.

[00:00:07] Écran partagé : Stephanie Cadieux et un interprète LSQ apparaissent. Texte à l’écran : Stephanie Cadieux; Dirigeante principale de l’accessibilité du Canada.]

Stephanie Cadieux : Je discute avec diverses personnes au Canada de la signification réelle de l’accessibilité et de son importance. En tant que société, nous ne pouvons plus nous permettre de nous accommoder de l’inaccessibilité. Beaucoup trop de potentiel est perdu et il est temps d’agir.

[00:00:23] Stephanie Cadieux et Raphael Solomon sont assis ensemble à une table accessible. Texte à l’écran : Produire des résultats.

[00:00:30] Logo animé apparaît brièvement, suivi par un écran partagé : une personne en conversation avec Raphael dans un bureau ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : L’idée est qu’il est possible d’attirer des personnes remarquables si l’on veut faire un petit effort.

[00:00:43] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Je m’appelle Raphael Solomon. Je travaille pour la Commission du droit d’auteur du Canada.

[00:00:45] Écran partagé : Raphael Solomon ; interprète LSQ à la droite. Texte à l’écran : Raphael Solomon, Économiste expert, Commission du droit d’auteur du Canada.

Raphael Solomon : Je suis titulaire d’une maîtrise et d’un doctorat en économie.

[00:00:52] Écran partagé : vue de mains de deux personnes assis à une table l’un vis-à-vis de l’autre ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : On m’a offert le poste de directeur de la recherche économique

[00:01:00] Écran partagé : Raphael Solomon ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : . . . pour que je veille au bien-être du personnel. Et pour que j’embauche du personnel. Cela s’est avéré une tâche ardue.

[00:01:06] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : C’est d’ailleurs à ce moment que j’ai reçu un diagnostic officiel d’autisme.

[00:01:12] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : J’étais plus réceptif à l’idée qu’il y avait des choses pour lesquelles je n’étais pas doué, et que je devais davantage mettre l’accent sur mes aptitudes et mes forces. C’était un bon point de départ.

[00:01:24] Écran partagé : une personne en conversation avec Raphael dans un bureau ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Nous avons amorcé une discussion, ma gestionnaire et moi.

[00:01:30] Écran partagé : Raphael Solomon ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Elle a déclaré : « Je ne veux pas perdre Raphael. Il est assurément un atout pour le conseil d’administration. »

[00:01:34] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : « Il est doué pour l’analyse des preuves et des données et pour la rédaction. Il sait enseigner.  Comment puis-je l’utiliser au mieux au sein de cette organisation? »

[00:01:45] Écran partagé : une série d’images montre Raphael travaillant à une table dans un bureau ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : L’une de mes plus grandes forces est ma mémoire quasi photographique. Si quelqu’un me demande quelque chose, je peux probablement trouver la référence en moins de cinq minutes. Les gens ont toujours été accommodants ici. C’est un endroit où il fait bon travailler.

[00:02:00] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Je me sens bien dans ma peau,

[00:02:04] Écran partagé : Raphael Solomon ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : en tant qu’individu, en tant que personne ayant un handicap, et en tant qu’employé.

[00:02:10] Écran partagé : une série d’images montre Raphael dans un bureau, mettant des écouteurs et se connectant à un ordinateur portable ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : On m’a offert un casque de protection auditive qui m’aide vraiment à me concentrer. Je ne gère vraiment pas bien les surprises.

[00:02:24] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Ma gestionnaire s’est fait un devoir de me donner des préavis.  « Ne le dites à personne d’autre, mais voici ce qui va être annoncé à la réunion de tout le personnel. » Cela a fait une énorme différence. Je peux me sentir dépassé lorsque je suis en contact avec des gens pendant trop longtemps. C’est pourquoi la possibilité de travailler à domicile me donne une pause en quelque sorte.

[00:02:43] Écran partagé : un moniteur d’ordinateur apparaît ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Je suis ce genre de personnage

[00:02:47] Écran partagé : une série d’images montre Raphael en conversation avec deux personnes dans un bureau ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : qui ne sait peut-être pas quand se taire, mais qui a toujours des choses intéressantes à dire si vous vous donnez la peine de l’écouter.

[00:02:55] Écran partagé : Raphael Solomon ; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Les gens ont compris que je suis une sorte d’hybride qui n’est pas dépourvu d’intérêt.

[00:03:00] Écran partagé : Raphael Solomon et Stephanie Cadieux en conversation; interprète LSQ à la droite.

Raphael Solomon : Un mélange de défis à relever et de grandes occasions à saisir.

[00:03:04] Raphael Solomon apparaît en plein écran. On lit en arrière-plan la « Commission du droit d’auteur du Canada ».

[00:03:10] Vidéo termine avec le logo animé du BDPA.

Via Rail – Bienvenue à bord ! Conception accessible de la nouvelle flotte de VIA Rail

Une personne en fauteuil roulant entre dans un train en utilisant un ascenseur pour l'accessibilité.

La nouvelle flotte de VIA Rail démontre la valeur de la conception inclusive.

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