Qui pourrait imaginer que Recep Tayyip Erdoğan, Viktor Orbán, Narendra Modi, Xi Jinping, Vladimir Poutine ou encore Jair Bolsonaro ont eu, sans le savoir, un même maître à penser : Jules César ?
La pandémie n’est pas terminée, mais ces dirigeants sont déjà entrés dans l’histoire pour avoir échoué à combattre efficacement la Covid-19. Certains d’entre eux n’ont même pas vraiment essayé.
Facebook s’est doté d’un Conseil de surveillance qui vient de rendre sa décision sur la suspension du compte de Donald Trump. Un épisode qui pose bon nombre de questions…
La rhétorique antisystème a envahi l’espace médiatique et politique et n’a jamais été aussi présente en France et dans le monde. Les candidats issus de l’entreprise l’ont bien compris.
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Otage de la guerre que se livrent en son sein les pro-Trump et ceux qui veulent se démarquer de l’héritage de l’ex-président, le parti républicain semble voué à sombrer dans une surenchère droitière.
Ils ont écrit leurs mémoires, fondé des œuvres charitables, construit des bibliothèques… voici ce qu’ont fait d’anciens présidents après leur départ de la Maison Blanche. À quoi s’occupera Trump ?
Facebook a mis en place un « Conseil de surveillance » censé veiller aux droits de ses utilisateurs. Peu de temps après sa création, cette instance doit trancher une question des plus sensibles.
Le Premier amendement de la Constitution des États-Unis protège la liberté d’expression des Américains, à un point tel que même les discours les plus haineux ont droit de cité.
Nicolle Herzog, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les insurgés du Capitole et, au-delà, les électeurs de Donald Trump, ne sont pas seulement mus par une angoisse économique mais aussi par la crainte d’un déclassement social, politique et culturel.
L’acquittement de l’ancien président Trump, mis en accusation pour avoir incité à l’attaque du Capitole est un symptôme du déclin du système constitutionnel américain qui est rongé de l’intérieur.
Le monde de la culture américaine est fortement touché par la Covid-19. Si Donald Trump n’a pas apporté de solutions, Joe Biden apparaît comme une source d’espoir pour la sphère culturelle.
Joe Biden relance le projet de faire figurer la militante anti-esclavagiste Harriet Tubman sur les billets de 20 dollars. Ce projet relance les débats sur la difficile question des réparations.
Si les sources de discorde entre le Qatar et l’Arabie saoudite n’ont pas disparu, le changement d’administration aux États-Unis invite Riyad à réévaluer sa position et à reconsidérer ses priorités.
L’analyse textuelle du discours d’investiture de Joe Biden révèle les principaux axes de sa communication à venir, qui sera marquée par une nette rupture avec celle de son prédécesseur.
Après avoir vécu quatre années tumultueuses sous Donald Trump, les États-Unis ont maintenant un président qui s’engage à plaider pour l’unité et la guérison.
Paul R. Carr, Université du Québec en Outaouais (UQO) and Gina Thésée, Université du Québec à Montréal (UQAM)
La démocratie a besoin d’être réformée et ce n’est pas seulement en changeant de dirigeant que l’on y arrivera. Il faut aussi repenser le système qu’il défend.
Maya Kandel, Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 and Iris Deroeux, The Conversation France
Au moment où Joe Biden prend la succession de Donald Trump, nous dédions cet épisode au « trumpisme » ou comment un homme a durablement transformé la droite américaine et redéfini son électorat.
Professeur émérite juriste et américaniste, spécialiste des États-Unis, questions politiques, sociales et juridiques (Cour suprême), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières