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. 2010 May;56(5):e183-90.

Locum practice by recent family medicine graduates

Affiliations

Locum practice by recent family medicine graduates

Douglas L Myhre et al. Can Fam Physician. 2010 May.

Abstract

Objective: To explore the demographic characteristics of recent Alberta family medicine residency graduates choosing locum practice, as well as their reasons for choosing and leaving locum practice and the frustrations and rewards of locum placements.

Design: Web-based and mailed cross-sectional survey and interviews.

Setting: The family medicine residency training programs at the University of Calgary and the University of Alberta.

Participants: A total of 152 graduates who had completed family medicine training between 2001 and 2005, inclusive, and who had either done locums in the past or were doing locums at the time of the survey. Interviews were conducted with a subsample of this group (n = 10).

Main outcome measures: Duration of locum practice, reasons for choosing and leaving locum practice, and frustrations and rewards of locum practice.

Results: Of the 377 graduates surveyed, 242 (64.2%) responded. Among the respondents, 155 (64.0%) had in the past practised or were at the time practising as locum physicians (complete data were available for 152 respondents). Most (71.7%) had arranged locum placements independently. The average duration of a locum placement was 9.1 months. Female and younger family physicians were more likely to practise as locum tenentes. The most common reason for doing a locum placement was as a practice exploration to increase experience or competence (46.7%). The primary reason for leaving locum practice was to settle into permanent practice (52.1%); interview data revealed that this reflected a desire for stability, a desire for continuity with patients, personal life changes, financial considerations, and the end of a perceived need for exploration. Locum tenentes were frustrated with negotiating locum contracts, low patient volumes, lack of patient continuity, and working with difficult staff. Rewards of locum practice included flexibility and freedom in practice, gaining experience, and the rewards that come from seeing patients. In total, 44.6% of family medicine graduates joined practices in which they had done locum placements.

Conclusion: Locum practice is a common early career choice for Alberta family medicine graduates. The most common reason for doing a locum placement was to gain experience, not to delay commitment. Locum practice tends to appeal more to female and younger family physicians. Rewards of locum practice were also cited as reasons for participation. Locum tenentes tend to be frustrated with the business aspects of arranging placements and with the generally low patient volumes. Long-term recruitment efforts by community physicians should be initiated within the first week of locum engagement.

OBJECTIF: Déterminer les caractéristiques démographiques des médecins albertains récemment diplômés des programmes de résidence en médecine familiale qui choisissent de faire de la suppléance, leurs raisons de choisir ou quitter ce mode de pratique, et les frustrations et gratifications qui en découlent.

TYPE D’ÉTUDE: Une enquête transversale par l’Internet ou par la poste et des entrevues.

CONTEXTE: Les programmes de résidence en médecine familiale de l’Université de Calgary et de l’Université de l’Alberta.

PARTICIPANTS: Un total de 152 diplômés qui avaient complété leur formation en médecine familiale entre 2001 et 2005 inclusivement, et qui avaient fait de la suppléance dans le passé ou en faisaient au moment de l’enquête. Des entrevues ont été tenues avec un sous-échantillon de ce groupe (n = 10).

PRINCIPAUX PARAMÈTRES ÉTUDIÉS: Durée de la suppléance, raisons pour choisir ou quitter ce mode de pratique, et frustrations et gratifications associées à la suppléance.

RÉSULTATS: Des 377 diplômés enquêtés, 242 (64,2 %) ont répondu. Parmi les répondants, 155 (64,0 %) avaient fait de la suppléance auparavant ou en faisaient au moment de l’enquête (on disposait de données complètes pour 152 des répondants). La plupart (71,7 %) avaient choisi eux-mêmes leur lieu de suppléance. La durée moyenne d’un contrat de suppléance était de 9,1 mois. Les femmes et les jeunes médecins de famille étaient plus susceptibles ce faire de la suppléance. La raison le plus fréquemment invoquée pour ce choix était que ça permettait d’explorer la pratique et d’accroître l’expérience et la compétence (46,7 %). On cessait la suppléance principalement pour s’établir en pratique permanente (52,1 %). Selon les entrevues, cela révélait un désir de stabilité, une volonté de suivre les patients, des changements dans la vie personnelle, des considérations financières et la fin du besoin d’exploration. Pour les remplaçants, la négociation des contrats, le petit nombre de patients, le manque de suivi des patients et le fait de travailler aves un personnel difficile étaient sources de frustration. Les avantages de la suppléance comprenaient la flexibilité et la liberté de pratique, l’expérience accrue et la satisfaction du contact avec les patients. Au total, 44,6 % des diplômés de médecine familiale se sont joints à des établissements où ils avaient fait de la suppléance.

CONCLUSION: La suppléance est un choix de carrière fréquent chez les diplômés de médecine familiale de l’Alberta. La raison le plus souvent invoquée pour ce choix était l’acquisition de l’expérience et non le report des responsabilités. Les femmes et les jeunes médecins de famille sont plus portés vers la suppléance. Les gratifications liées à la suppléance ont aussi été mentionnées comme raisons pour en faire. Les remplaçants ont tendance à ressentir de la frustration en raison du côté « affaires » des contrats de suppléance et du nombre généralement faible des patients. Les efforts de recrutement à long terme de la part des médecins de la communauté devraient débuter dès les premières semaines de la suppléance.

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Cited by

References

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