Qu’est-ce qui nous fascine dans une œuvre d’art ou un objet quelconque ? Peut-on voyager dans le temps et l’espace qui nous séparent de leur origine plus ou moins lointaine ?
ARCHÉOLOGIE DES FLUIDES nous invite à redécouvrir la collection du MAH sous un angle nouveau qui met en exergue notre relation aux objets et leur emprise sur notre regard.
🚨 Vernissage public le jeudi 18 juillet dès 18h. En présence du commissaire, l'historien de l’art Pascal Rousseau, avec la complicité de l’artiste américain Tony Oursler et ses archives fascinantes sur les imaginaires visuels de l’hypnotisme.
Les infos ici 🔗 https://lnkd.in/dsdyxfka
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À l’aube du XXe siècle, de nombreuses études sur la psychologie (para)normale et les états modifiés de conscience, en marge des interprétations purement rationnelles de la subjectivité et de la modernité artistique ont vu le jour à Genève.
Alors que la révolution du métavers et de la réalité augmentée bousculent aujourd’hui nos perceptions, ce sont là des questions que se posait déjà l’archéologue Waldemar Deonna, qui dirigea le Musée d’art et d’histoire de Genève de 1922 à 1951.
Avec Archéologie des fluides, le MAH a souhaité s’inspirer de l’originalité de sa pensée sur le pouvoir des œuvres à nous transporter, même virtuellement, à travers les époques : les auras et les halos, le magnétisme des objets et la réanimation des images du passé, l’hypnose du regard et l’extase des sens.
ARCHÉOLOGIE DES FLUIDES
DU 19 JUILLET AU 27 OCTOBRE 2024, MUSÉE D'ART ET D'HISTOIRE, DE 11H À 18H DU MARDI AU DIMANCHE ET DE 12H À 21H LE JEUDI